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- nous un changement actuel ; et c’est ce passage dans lequel
- se forment des rapports plus directs et plus sentis entre
- les affections qui se renouvellent en nous, et l’état présent
- du ciel et des campagnes.
- Quand la végétation… …éveille les désirs (Ibid.,
- 161-165) : on aime la saison… …va vivre davantage
- (Ibid., 170-172) ; on rentre dans le songe du bonheur ; et
- ces momens séduisans sont encore embellis par l’attente
- des saisons fécondes. Tous les cœurs… …premiers
- beaux jours (Ibid., 174-175) : ce retour annuel…
- …notre courage (Ibid., 176-177). La nature reste…
- …déjà dans nous (Ibid., 178-183). Jeunesse toujours
- nouvelle… …printemps des êtres (Ibid., 173-174),
- illusion immense de l’ame périssable !
- Les longs jours… …rendent pas pénibles (Ibid.,
- 335-336). C’est le commencement d’une saison trop forte,
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- trop pompeuse. Cette température… | …ne peut pas
- entendre (Ibid., 337-344).
- Nous aussi… …les désirs s’éloignent (Ibid., 193-198),
- quand la vue de ce qui est remplace le songe de ce
- qui pourroit être.
- Nos pertes sont… …aux lentes rêveries (Ibid., 208-219),
- aux souvenirs qui entrent déjà dans l’oubli irrévocable.
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- Reste épuisé de la splendeur des beaux jours, | dernier
- effort de vie mêlé d’une sorte de langueur et qui bientôt
- va s’éteindre sous les frimas ténébreux, mélancolique
- Automne !… …des impressions aimantes (Ibid., 221-230).
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- Ces jours plus courts,… | …voisine des frimas
- (Ibid., 236-262), elle est comme le repos du soir aux
- bornes de notre vie livrée à la mort.
- Infortunés que le sort… …loin de vous (Ibid.,
- 273-276), et vous n’aimez pas ce qui rappelle le besoin de
- la joie. Tristes victimes… …à dissimuler (Ibid., 276-