Page:Sénancour - Rêverie sur la nature primitive de l’homme, tome 2.djvu/52

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rément (Ibid., n. l, 1-3). Cette harmonie qu’il est… |

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…ce que nous sommes. (Ibid., 13-20).
Cette harmonie n’est point… …la dissolution.
(Ibid., n. 2, 1-12).

[83, 84]

Nous devons au rétablissement… | … | …la durée
imaginaire (Ibid., 21-57). Il semble que dans cet état
quelque chose la rapproche en effet de l’image divine, car
l’étendue vivante et impassible, ce seroit l’être-principe.
Mais nulle situation… …le sentiment de la vie.
(Ibid., 58-74).

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Les plaisirs sont inutiles… | …les biens illusoires.
(Ibid., n. 3, 1-7).




QUATORZIÈME RÊVERIE



Il faut à l’homme… …et fécondée. (B. IV, 75-84).
L’emploi du temps… …nous croyons utile (Ibid.,
n. 4, 1-4). Mais le temps consumé dans l’inaction, ne
laisse point de traces : il tombe trop visiblement, et nous
voyons à découvert le néant de nos heures et le néant de
notre être.
Sans doute le temps le plus occupé produit rarement
ce que nous en attendions ; mais enfin il produit quelque
chose, et dans nos vues insatiables nous trouvons le

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moyen d’attacher d’autres désirs | à ces résultats
accidentels. Mais le temps qui passe sans rien préparer, n’est plus
qu’un obstacle… …les heures se hâtent (Ibid., n. 4,
5-8) : nous mettons… …une sorte d’importance (Ibid.,
n. 4, 9-10) ; et il suffit… …ce qui arrive. (Ibid., n. 4,
11-15).