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- environne, un vide sinistre ou une résistance pénible. L’ennui
- commence dès que nous cessons un mouvement corporel
- assez considérable pour forcer les organes de la pensée
- à se modifier selon les autres organes, dans une harmonie
- nécessaire au bonheur.
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- Tout semble commander… | …n’avions pas voulu.
- (Ibid., 237-253).
QUINZIÈME RÊVERIE
e sage,… …à cette quiétude (Ob. XLIII, 129-133)- sans laquelle pourtant il n’y a point de sages, et sans
- laquelle celui qui aspire à l’être ne trouve dans la
- recherche du vrai, qu’une joie troublée, et des dédommagemens
- à peine préférables à ces biens vulgaires dont il
- a négligé les séductions.
[95]
- Pour ne s’attacher… | …est toujours incertain
- (Ibid., 133-137), et que rien n’est plus difficile que le
- repos dans le doute. Pour n’avoir ni craintes… …
- amener la mort (Ibid., 137-141). Mais lorsque c’est… |
[96]
- …n’est plus permise. (Ibid., 144-166).
- Parmi nous celui… …que le misérable envie (B.
- …n’est plus permise. (Ibid., 144-166).
[97]
- IV, 254-265) ainsi dans des positions… | …dans leur
- dépendance. (Ibid., 266-297).
[98]
- Imaginez un homme… | …dépendent de l’opinion
- (Ibid., n. 11, 1-9) : il mourroit de besoin, que je ne le
- dirois pas misérable. Il y a souvent une affreuse misère
- dans nos champs ; il ne peut y en avoir dans une vraie
- campagne.