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NOTES D’UNE FRONDEUSE

Puis, quand le temps est beau, là-bas, au-delà des vagues, entre la plage et le ciel rosés par le couchant, on voit briller des maisons blanches — comme des quenottes ! C’est la jolie Gaule qui rit au soleil…

Combien sont déjà venus la contempler d’ici, les bras tendus vers elle, la face inondée de larmes, dans l’isolement des jours, dans le silence des nuits et combien encore viendront !…