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2i4 4 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

Comtesse de

Grignan.

l’adore et on s’attache entièrement à eile, VII, 83 et 84. Elle est polie, aimable, non glorieuse, adorée de tous ceux qui la voient, VIU^ 3o6. Partout elle tient bien sa place, VIII, 386. Si le vrai mérite trouvait sa place à la cour, elle y serait fort bien, VI, 199, 34i et 342, 432. -Elle se conduit en toute perfection, ne méprise pas les gens qui ne pensent qu’à l’honorer, et sent tout le prix d’avoir des amis; cela doit charmer le comte de Grignan, VIII, 565. Son bon air, sa bonne grâce, IX, 228. Elle fait parfaitement les honneurs de son magnifique château, X, i54- Elle se fait un plaisir de ne pas faire de visites, X, 238. Sa sensibilité pour sa mère et pour tous les siens, X, 200. Sa vivacité fait qu’elle se tourmente facilement, VII, g5. Trouble que lui causent les maux de ceux qui lui sont chers, IX, log. Son bon cœur la rend la garde-malade de tous ceux qu’elle aime, LX, s4g. Sa mère, la félicitant du bon état de- ses malades, l’attribue à ses soins, IX, 255. ̃ Sou bon cœur, IX, 5o8. Elle dit qu’elle n’est plus belle ses agitations, sasensibilité sa mère lui recommande de se servir de son courage, de sa philosophie, de son christianisme, pour surmonter ses peines, IX, 286 elle lui souhalte de la patience pour supporter tout ce qui lui arrive, VIII. 109. Elle est discrète, IV, 3og. Sa reconnaissance est durable, VIII, 409 et 410. Sa mère ne veut plus qu’elle dise du mal de son humeur

son cœur et son aime sont trop parfaits pour laisser voir ces ombres, VI, 224. Ses sentiments sont dignes d’une Romaine, V, 48; VIII, 487. Éloge de son esprit et de sa capacité, II, 211, 252; de sa raison et de son courage, II, 3n; de sa belle âme, II, 468; III, 535. Sa philosophie, sa force, II, 342 j III, 242 IV, 26g. Elle est venue, la veille d’un départ, souffler une bouffée de philosophie à sa mère, III, 4°7 i IV, 14 et i5; conseils de fermeté et de distraction qu’elle lui a donnés pour le temps de leur séparation, III, 472.Mme Scarron se souvient de l’esprit qu’elle a montré dans une conversation où elle soutenait une mauvaise cause, II, 460. Comparaison, toute à l’avantage de sa beauté et de son esprit, que Mme de la Fayette, Mme Scarron et sa mère font d’elle et de Mme du Fresnoy, II, 485. Elle a tort de dire du mal de son esprit, II, 45g, 463. Justesse de ses raisonnements dans les affaires d’État, IV, xjj. Tout est arrivé à Maestrieht comme elle l’avait prédit, V, 55 et 56. Sa mère et le chevalier de Grignan craignent que la vivacité de son esprit ne l’épuisé comme Pascal, V, 328. Solidité de son esprit; elle a passé à joints pieds sur toutes les misères des jeunes personnes, VI, 47 et 48. Qu’elle ait bonne opinion d’elle, malgré les procédés désobligeants, de la fortune, VI, 199. Éloges donnés à son esprit, VI, 264; VIII, 474 IX, 5o3 et S04,