Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 12.djvu/221

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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVfGNÉ. ai5

Sog, Énumération que lui fait sa mère de toutes les qualités de son esprit; elle a du fond pour être tout ce qu’elle voudra; don qu’elle a de se faire aimer, VI, 443 et 444, 456. Elle est chagrine de toutes ces louanges, VI, 5oi. Cas que sa mère et son frère font de ses conseils, VII, 42. Elle est savante, VII, to8. Sa mère admire son esprit étendu et univer- j 1 sel et l’héroïsme avec lequel elle soutient son rôle, VII, T22 et ia3. Sa capacité dans les procès, VHI, 167, I73, 254. Elle a l’esprit des affaires, IX, 70, 5o3 et 5o4, 5og. Elle est propre à tout; c’est elle qui a fait la compagnie que commande son fils, VIII, 2.54, 280, a83. Enthousiasme de Tréville sur son solide mérite et sur sa beauté; approbation de Mmes de la Fayette et de Lavardin, et de plusieurs autres, Vin, 3o6, 456. C’est grand dommage qu’elle n’ait pas le temps de faire usage de la beauté et de l’étendue de son esprit elle ne se sert que du bon et du solide; Descartes y perd, VIII, 43o. Personne ne pèse plus qu’elle ses paroles sur les choses importantes, VIII, 43i. Elle sait mieux que personne céder à la raison, VIII, 55o. Son courage, sa force, son mérite sont au-dessus de tous les autres et à la hauteur de toutes les difficultés où elle se trouve, IX, 102, io8. Elle ne se laisse accabler ni par ses occupations, ni par l’em- barras de ses affaires, IX, 35 1. Mme de la Fayette la met

au-dessus de tout ce qu’elle ( connaît d’esprit et d’agrément, IX, 3g3. Son esprit, dit t Bussy, a pris un trop bon pli pour que la province puisse lui faire tort, X, 74. Son bon mot sur Beaufort et le comte de Dietrichstein, II, 198. Folie qu’elle a dite un jour qu’on annonçait que d’Ormesson serait chancelier, IX, 43 1. Elle est si bien douée, qu’elle serait en conscience obligée de communiquer de ses qualités aux autres, si c’était possible, IX, 45o. Son opinion sur l’âme des bêtes, II, 543. Elle engage Coulanges à ne pas apporter à Pauline un chien dont il voulait lui faire présent de la secte dont elle est, elle ne veut pas s’embarrasser de ces sortes de machines, IX, 6ô5. Son goût pour la philosophie de Descartes, qu’elle comprend admirablement; son opinion que plus il y a d’indifférence dans lame, moins il y a de liberté, III, 216, 221; que le feu n’est point chaud, VI, 5o5. Mme de Coligny la croit engagée dans la secte de Descartes, V, 5oo. Elle n’abjurera point la philosophie de Descartes, qu’elle espère voir triompher de toutes les attaques, V, 5oo. Elle était plus digne que Mme de Sévigné de voir à Rennes toute la famille de Descartes, VII, 54- Descartes est, par plaisanterie, appelé son père, IV, 474, 522; V, 222; VI, 60, 274, 285, 426, 44i, 448, 468, 487, 489, 524; VII, 23 et 24; 54, 64, ?4; VIII, 22a, 469; IX, 57 et 58, i43, 146, 222. -Descartes lui apprend l’ana-

Comtesse de

Grignan