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356 TABLE ALPHABÉTIQUE ET ANALYTIQUE

à Mme de Sévigné du chevalier de Grignan, IV, 545. Il traite Bussy comme s’il était aussi maréchal de France, VU, 167. Le bruit court qu’on va lui donner le gouvernement de Lorraine, VIII, 20 et 21, 26. Sa réception dans l’ordre du Saint-Esprit, VIII, 375. Il va commander en Guienne, VIII, 407. Il va en Allemagne, IX, 280. il s’est retiré du service, X, 34o. Lorges (Geneviève de Frémont, maréchale de), IV, 479 X, 281, 327, 35o, 354. Son mariage; elle est jolie, et elle a été élevée pour être grande dame, IV, 3o.5. Son mari n’aura d’autre bien que le sien, VIII, 26. Détails sur sa parenté, X, 35o. et 360.

Loeges (Geneviève -Marie de Durfort de), fille des précédents. Voyez Laczun (la duchesse de).

Lokiekt (la ville de). Mme de Sévigné y vient et en fait la description, IX, i5g et 160. LoKME(de), commis de Foucquet, I, 471.

Lohkaike (la), II, 1C8, 177, ao5, 209, 258, 4o4; V, 459; VIIÏ, 20 et ai, 22, 26; X, 480.

LORRAINE (le cardinal de), X, 52O.

Loukaise (Charles IV duc de), 111, g, 4gg, Soi V, 60 et 61. -Ce qu’il dit de Turenne au duc d’Elbeuf, IV, 45. Son esprit; comment il nomme Créquy après la déroute de Conz-Saarbriick, IV, iri et 112. Son opposition au siège de Trèves, IV, 122. Nouvelle de sa mort, IV, 151. C’est l’heureuse étoile du Roi qui l’a fait mourir, î\ • 176.

Lobesse (la terre de), à cinq lieues des Rochers. Mme de Sévigné s’y arrête, II, 43 1. Lokesse (Mme de), parente de Mme de Grignan, II, 429.

Lobges, nom de lieu, IV, 536; V, 8, 58 et 59; Vil, 232.

Lorges (Guy-Aldonce de Durfort, comte, puis duo de), neveu de Turenne, maréchal de France, IV, 52, 74, =36; V, 460, 462; VIII, 26, 328,433, 524; X, 2g5, 327. Après la mort de Turenne, il com- mande à sa place, III, 537. Son désespoir de cette mort, IV, 4, 98. Il doit être chargé de l’armée jusqu’à l’arrivée du prince de Condé, IV, 4. Il se couvre de gloire au combat d’AItenlieim, IV, i3, 26 et 27. Il méritait le bâton de maréchal, IV, 30, 45 et 46, 50. Danger qu’il court, IV, 3o. Ce que lui fait dire Montecuculi en lui envoyant son compliment de eondoléance sur la mort de Turenne, IV, 3r. Tentatives faites auprès du Roi pour sa nomination de maréchal il n’a que le commandement de l’Alsace et vingt-cinq mille francs de pension, IV, 3i et 3a. Sa valeur, IV, 34. Le bâton de maréchal lui était dû plus qu’à son frère; celui-ci l’écrit au Roi, IV, 5o. Il est fait maréchal de France c’est un peu tard, IV, 3G8, 872. Son mariage avec Mlle de Frémont, IV, 385. Il est bien heureux d’acquérir à la fois de grands biens, des honneurs et une très-jolie femme, IV, 3g5. -Il devient capitaine des gardes il est bien marié, IV, 479. Sait-il jouir de son bonheur? IV, 4g4. Il parle