1,62. INTRODUCTION, dans le manuscrit. Voici quelques exemples qui sufli- ront pour montrer la gravité du mal et faire apprécier Yimportance de notre ancienne copie, qui par bonheur 1·épa1‘era_entière1nent toutes ces fautes. · Mme de Sêrigné avait écrit : « Je ne puis me reprocher d'avoîr perdu aucune occa- si011‘, etc. >> ·· · Le Grosboisz lui fait dire, et sur son témoignage on a dû imprimer : -- << Je ne puis me reprocher diavoir perdu aucune ver- sion ‘, _etc. » Et plus loin, dans la même lettre, Mme de Sévigné (lisait : « Il m’a parlé de l’:1ffaire du consul diAix". » _Et le. copiste a mis-et fait mettre : « Il m’a parlé de l’aiïaire du conseil dlAix‘. » p Dans un passage de la lettre du I2 janvier I674, re- 1. Msc., tome IV, p. St. Le mot a été du reste dans notre ma- nuscrit Pobjet d’une correction qui a pu et dû tromper le copiste 2. Groslnois, p. 470. 3. Lettre 373 (IH, 382); le passage est à la fin de la page 383. —Cettc lettre 373, publiée, sans date précise, d'après le Grosbois, par les derniers éditeurs, n’est qu’un fragment de la lettre du 2 fé- vrier 1674, dont une partie, donnée par. Perrin, forme le n° 377 (HI, 397), ct dont d’:xutres parties, encore inédites, figureront, È: leur date, dans notre recueil. 4. Msc., tome IV, p. 82. A, 5. Lettre 373, tome III, p. 384:, Grosbois, p. 470. ` '
