Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/298

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282. LETTRES INÉDITES E? ce qui se dit en une heure; mais il me semble que ce génie, que vous Souhamez de m°env0y<-xr, eût été con- tent. Je vous assure que bien des gens ici connoissent ce prélat, et qu’il a été peint au naturel dans de très- bons endroits. V ]`5· —·—· DE MAJJAME DE siavreuiz A MADAME DE GHIGNAN È. A Paris, mercredi 13* avril. In ne comprends point comment cette lettre du 25 a été perdue. Quand je les envoie le soir, je réponds de mes laquais; on les met trèsildèlement avec toutes les autres. Quelquefois j’en ai envoyé le matin, et on les a données à Dubois, en mains propres, qui faisoit les paquets. Car la poste ne part que le jeudi et le samedi A matin, et l'on dit que c'est, la veille à minuit, parce que l°on ne finiroit point d’envoyer toujours. Mais quand on a un petit Dubois, on prend de ces libertés-là, et cela est quelquefois fort commode. Je ne le ferai plus pré- sentement, car il s'en va, avec un autre commis, à Yarmée, à la suite de M. de Louvois’: me voilà fort Lxrrrxus. 15 (fragments inédits). -· L Ces fragments font partie de la lettre 264 (III, 16); la. lettre entière se trouve dans notre manuscrit, tome IV, pages ::53 et suivantes; le Grosbois n’cn ren-· ferme que quelques passages déjà publiés par Perrin: plus cle la moitié de la lettre était encore inédite. * sn. Le marquis de Louvois était surintendant général des postes, en même temps que secrétaire d'Etat et ministre de la guerre