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Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/51

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en a une foule de ce genre, —— qui prouvent ce que nous avons avancé.

Mais en voici qui sont bien plus décisifs encore.

Le copiste du Grosbois, nous en avons fait l’observation plus haut‘, a souvent encbassé entre deux fragments, même lorsque ces lragments appartenaient à des lettres differentes, une fin et un commencement de phrase appartenant au fragment qui précéclait et à celui qui suivait. Cette faute, commise plusieurs fois, vient, nous l°avons dit, de ce que le copiste ne se reconnaissant pas, ou se reconnaissant mal, dans les indications qui lui avaient été données, et n’étant pas d’ailleurs guidé par la ponctuation, —-qui fait, en général, totalement défaut dans notre manuscrit, comme dans les originaux, — avait pris le parti, lorsqu’il avait des doutes, de commencer sa transcription au commencement de la ligne en face de laquelle se trouvait le signe initial, et de la poursuivre _jusqu`à la lin de celle ou se trouvait le signe marquait le point ou il devait s`arrêter. Or, dans tous ces cas, les bouts et les fins de ligne ajoutés sont des bouts et des Hns de ligne de notre manuscrit, dans lequel se voient encore, plus ou moins fortement tracés au crayon, et presque toujours mis en marge, plusieurs des signes dont il vient d°être parlé 2.

1. Pages Ia et 13.

2. Ces signes, est-il besoin de le dire, sont une preuve de plus., et une preuve assurément très-puissante, de la parenté directe des (16U.X copies; si nous DC les ÉIVODS fait CDÈPCT (IUC 56COIl(,l.Éll.I’E·’ ment en ligue de compte, o’cst parce que nous avons tenu à ne