Page:Sade - Aline et Valcour, ou Le roman philosophique, tome 4, 1795.djvu/213

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

diviser ou nous éteindre, et notre amour entier dans l’être qui ne s’anéantit jamais, durerait autant que ce Dieu.

Je te laisse ;… j’ai beau quitter et reprendre la plume,… toujours imbibée malgré moi du fiel de la mélancolie, au-lieu de fortifier ton esprit, elle l’allarme ; je ne réussis pas à te consoler, et je ne m’afflige que davantage.


LETTRE LXIV.


Le président de Blamont à Dolbourg.


Paris, ce 29 Mars.



Il faut que je te voie,… le croiras-tu ? Cette Augustine,… elle tremble au mo-