Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 10, 1797.djvu/116

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son enthousiasme redouble quand il peut admirer à l’aise les charmes de cette jolie créature ; il ne se lasse point d’examiner ce cul délicat et mignon ; il le baise, l’écarte, le gamahuche, le fout, en ressort pour le baiser de nouveau, et quelqu’ardentes que soient les caresses qu’il prodigue, il ne peut s’en rassasier. Fais venir l’autre, me dit-il, je veux comparer. Raimonde paraît, et bientôt aussi nue qu’Elise, elle offre à notre examinateur tout ce qui peut faciliter ses observations. On n’imagine pas le scrupule avec lequel il y procède ; les fesses sur-tout fixent son attention avec un recueillement dont on n’a pas d’idée, je le branle légèrement pendant ce tems-là ; il manie quelquefois mon derrière, en enfonçant sa langue dans ma bouche ; il encule Elise, en nous claquant, Raimonde et moi, de droite et de gauche : en vérité, l’une vaut l’autre, me dit-il tout bas, et toutes deux sont délicieuses… Je les ferai beaucoup souffrir… Quel est le meilleur cul, demandai-je ? Ah ! toujours Raimonde, me répondit-il, en baisant la bouche de cette belle fille, le sien est plus chaud, plus étroit : mets-toi sur le bord du lit, Juliette, me dit cet insatiable