Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 10, 1797.djvu/128

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Comme il ressemble à sa mère, dit le paillard en le baisant… La malheureuse ! qu’est-elle devenue, dis-je à l’Italien ?… Eh bien, Juliette, me répondit-il, vous me soupçonnez donc toujours de quelques horreurs : vous seriez bien surprise, si je la faisais paraître à l’instant. — Je vous en défie… Eh bien ! la voilà, dit Cordelli, nous montrant un des cadavres accrochés au mur ; c’est sa mère, demandez-lui plutôt ; je l’ai dépucelé là, le cher amour : à peine y a-t-il trente-six heures… Oui, là, dans les bras de la tendre mère, et peu après, qu’il vous le dise encore… Oui, en vérité, sous ses yeux, j’envoyai la maman, par un supplice assez bisarre, où je vais envoyer aujourd’hui monsieur son cher fils, par un qui ne le sera pas moins, je vous le jure… et le coquin, pollué par moi, bandait excessivement.

Il fait contenir l’enfant par une vieille, j’humecte, par ses ordres, l’orifice gomorrhéen, je guide le membre, Durand suce le ganimède en dessous, et l’Italien encule, en baisant mon derrière.

Toujours assez leste… assez maître de lui, pour n’effleurer que le plaisir, sans jamais le laisser échapper, Cordelli, sans perdre de foutre, se retire encore de ce cul.