Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 10, 1797.djvu/173

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t’échauffera, tu désireras le reste ; et laisse-nous faire. En même tems, Rosetti se déshabille, toutes deux soutiennent, à coup de poignet, l’état brillant de nos athlètes ; et ma belle amie me les introduit, l’un après l’autre, dans le con. Dès qu’ils y sont, la garce se couche sur moi, à la renverse, met son con sur ma bouche, et vient me sucer le clitoris, pendant que deux jeunes gens l’enculent, et que la soubrette enfonce le vit d’un troisième, dans le cul de celui qui me fout.

On n’a pas d’idée des plaisirs que cette première séance me fit goûter. Quand tous les dix m’eurent ainsi passé sur le corps, je présente les fesses, on m’encule : j’avais le con sucé par Zanetti agenouillée contre un lit, et qui branlait un vit de chaque main. On sodomisait mon fouteur, et je suçais le con de Rosetti, qui branlait deux vits sur sa motte, de manière à ce que je pusse, alternativement, ou sucer son con ou pomper les vits qu’elle masturbait. Quand tous les engins m’eurent ainsi passé dans le cul, nous ne formâmes plus qu’un seul grouppe. Je me couche à plat dos sur un homme qui m’encule ; un autre