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en r’ouvrir les plaies ; il ne s’arrête qu’à cent soixante. Sylvestre, au nez duquel deux femmes chient, veut fouetter, pendant ce tems-là, le dos, les reins et le bas des cuisses. Jérôme, dont la femme de quarante ans pique les fesses avec une aiguille d’or, et que branle la fille de quatorze ans, condamne tout, et n’épargne rien.

Mettons-nous tous les six sur elle, dit Severino, en s’introduisant dans le cul. J’y consens, dit Antonin, en prenant le con. Soit fait ainsi qu’il est requis, dit Clément, en foutant la bouche. Elle nous branlera chacun : d’une main, disent à-la-fois Ambroise et Sylvestre. Et qu’aurai-je donc, moi, dit Jérôme ? — les tetons… ils sont superbes, dit Severino. Je ne les aime pas, répond le libertin. Eh bien, prends le cul, dit le supérieur, en se nichant entre les deux seins. Tout s’arrange ; la malheureuse fait la chouette aux six moines, et les accessoires se disposent. Au-dessus de Jérôme, qui sodomise, se placent artistement les culs des trois jolies petites sœurs ; il peut les baiser en foutant. À la portée du visage d’Antonin, qui enconne, se présentent, entr’ouverts, trois autres jolis cons. Ambroise, que l’on branle, le rend de chaque main aux