Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 2, 1797.djvu/356

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mis à de plus grandes profanations. Le fouet reçu, vous vous mettrez absolument nue ; vous vous coucherez à terre, les jambes écartées ; tous les hommes qui m’auront passé sur le corps, vous chieront dans le con et sur la gorge. En revenant de l’opération, ils me feront torcher le trou de leur cul ; ce que j’exécuterai avec la langue ; cela fait, je m’acroupirai sur votre bouche, vous l’ouvrirez la plus grande possible, je chierai dedans ; un de mes hommes me branlera ; mon foutre partira en même-tems que mon étron, c’est la seule façon dont je décharge, — Et quels sont, dit Joséphine, les émolument que monseigneur accorde à d’aussi désagréables services ? — Vingt-cinq mille francs par mois, dit le prince, et je paye tous les accessoires. — Ce n’est assurément pas trop, répondit Joséphine ; mais l’honneur de votre protection nous tiendra lieu du reste, et je suis aux ordres de monseigneur. — Quel est ce garçon que vous appelez votre frère, poursuivit le prince ? — Il l’est effectivement, répondit Joséphine, et la similitude de ses goûts aux vôtres pourrait peut-être le rendre utile à vos plaisirs. — Ah ! il est bougre ? — Oui, monseigneur, — Vous encule-t-il ? — Quelque-