Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 2, 1797.djvu/357

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

fois. — Ah ! parbleu, je veux voir cela. — Et Joséphine m’ayant fait appeler, le prince, pour me mettre sur-le-champ à mon aise, déboutonna ma culotte, et me branla le vit. Voilà, dit-il, un fort bel engin ; il n’est pas tout-à-fait de la taille de ceux dont je me sers, mais il doit être beau à voir en œuvre, sa décharge peut être brillante ; et ayant fait coucher Joséphine à plat-ventre, il introduisit mon vit dans le cul de cette fille le plus adroitement du monde. À peine y fus-je, qu’il passa derrière moi, et, rabattant mes culottes sur mes talons, il mania mon cul, l’entr’ouvrit, le gamahucha, y fit pénétrer son vit de quelques lignes ; se retirant ensuite, il se remit à contempler mes fesses, en m’assurant qu’il les trouvait fort de son goût. Pourriez-vous chier en foutant, me dit-il ; c’est une chose délicieuse pour moi, que de voir chier un homme pendant qu’il fout en cul ; on n’imagine pas combien cette petite infamie échauffe ma lubricité ; c’est qu’en général j’aime fort la merde, j’en mange même, tel que vous me voyez ; les sots ne conçoivent pas cet écart ; il y a des passions qui ne sont faites que pour les gens d’un certain ordre. Eh bien, chierez-vous ? — Ma réponse fut un des plus fameux