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l’un lui soutenait le pot-de-chambre, le second tenait une bougie très-près du trou, pour que l’action fût bien éclairée, le troisième lui suçait le vit ; et le quatrième, tenant une serviette très-blanche à la main, lui baisait la bouche ; Gernande, appuyé sur les deux gitons de devant, poussait à demi courbé ; aussitôt que paraissait l’énorme quantité de merde qu’il était dans l’usage de déposer, vu l’immense nourriture qu’il prenait, le giton, tenant le vase, était obligé de louer l’excrément… la belle merde, s’écriait-il, ah ! monsieur, le superbe étron… vous chiez délicieusement ; Avait-il fini ? le bardache, armé de la serviette, venait, avec sa langue, nettoyer les parois de l’anus, pendant que celui qui tenait le pot, le rapportant sous le nez de Gernande, le lui faisait examiner, en redoublant ses éloges ; la bouche du suceur se trouvait alors pleine d’urine, qu’il était obligé d’avaler à mesure ; la serviette achevait de nettoyer l’anus ; et les quatre gitons, n’ayant plus rien à faire, terminaient leurs opérations, en venant sucer, fort long-tems, tour-à-tour, la langue, le vit et le trou du cul de ce libertin.

Oh ! foutre, dit Bressac toujours sodomisant Victor, qui maniait les fesses de sa jolie