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petite malheureuse, dont le sang continue de couler en abondance, on m’a fait une douleur bien sensible ; j’en mourai. Bon ! dit froidement la supérieure, de plus jeunes que toi ont soutenu ces attaques sans risque ; poursuivons, et sans prendre d’autres peines que ceux d’étancher le sang, la victime est rattachée sur le ventre, comme elle vient de l’être sur le dos ; et le trou de son cul bien à ma portée, la Delbène remise sur l’autel avec ses deux tribades, je m’apprête à remonter à l’assaut par une autre brêche.

Rien n’était luxurieux comme la manière dont la supérieure se faisait branler par Volmar et Flavie. Cette dernière, étendue sur madame Delbène, lui faisait sucer son con en lui branlant le clitoris et lui chatouillant les tetons. Volmar, un peu au-dessous, instrumentait d’une main notre lubrique abbesse, en lui enfonçant trois doigts dans le cul, de manière que la tribade n’avait pas une seule partie de son corps qui ne tut soumise au plaisir. Les yeux, pendant ce tems, fixés sur mon opération, la putain m’encourageait à la terminer : je me présente ; c’est Télème qui, cette fois, doit m’enculer, pendant que je sodomiserai Laurette ; et