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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 5, 1797.djvu/182

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lème, c’est à lui d’en jouir cette fois-ci, et je ne souffrirai pas qu’il perde ses droits. Mais, scélérat, puisque tu bandes si fort, encule Volmar ; vois son fessier superbe offert à tes désirs ; encule-la, te dis-je elle m’en branlera mieux. Oui, foutredieu, oui, dit Volmar, voilà mon cul, qu’il l’enfile, le bougre, jamais je n’eus tant de besoin d’être sodomisée. Tout s’arrange ; et la brèche préparée chez Laurette, laissant mon instrument pénétrer sans trop de difficultés, la pauvre petite, en une minute, le sent au fond de son anus. C’est alors que ses cris redoublent ; elle en pousse d’affreux ; mais Télème, bien enclavé dans mon cul, et Delbène, qui nage dans le foutre, m’encouragent l’un et l’autre avec tant d’énergie, que Laurette éprouve bientôt par derrière ce que je lui ai fait sentir par devant : le sang coule, et la pauvre enfant s’évanouit pour la seconde fois. C’est ici où je m’apperçois bien du caractère féroce de Delbène : continue, continue, s’écrie-t-elle en me voyant prête à sortir ; ne la lâche pas que nous n’ayons déchargé. Mais elle se meurt, réponds-je. — Bon, bon, ce sont des simagrées ; et que m’importe, d’ailleurs, l’exis-