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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 5, 1797.djvu/251

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quelque défaut de soumission on venait à déranger l’ouvrage. Allons, madame Lacroix, humectez la route et tâchez d’y conduire mon vit avec une telle adresse, qu’une fois dedans, rien ne l’en puisse sortir que la défaillance où le réduira bientôt ma décharge.

Rien ne fut négligé par l’aimable tiers ; Montazet n’était pas très-fourni : une parfaite résignation de ma part, jointe à tous les soins pris pour faire réussir l’entreprise, la firent promptement arriver à bien. M’y voilà, dit le saint pasteur ; il y a ma foi, long-tems que je n’ai foutu plus à l’étroit : oh ! pour celle-ci, je la garantis vierge, j’en jurerai quand on voudra… Allons, placez-vous, Lacroix ; placez-vous, car je sens que mon sperme éjaculera bientôt dans ce beau cul.

À ce signal, madame Lacroix sonne ; une seconde femme, que je n’eus pas trop le tems d’examiner, arrive ; le bras nud, armé d’une forte poignée de verges, elle se met à travailler d’importance le cul pontifical, pendant que Lacroix, s’élançant sur mes reins, vient offrir son postérieur aux lubriques baisers du sodomiste, qui, prompte-