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gine pas ce que ces jeunes gens et moi inventâmes pour tourmenter cette malheureuse ; nous ne la quittâmes pas qu’elle ne fût évanouie ; nous rapprochant alors de Noirceuil en feu, nous l’environnâmes de nos culs, et le branlâmes sur le corps tout meurtri de l’infortunée victime de sa passion ; ensuite Noirceuil me livra aux deux jeunes gens : tantôt l’un me foutait en cul, pendant que l’autre me faisait sucer son vit : quelquefois, entre l’un et l’autre, ou j’avais leurs deux outils dans le con, ou j’en possédais un par devant, l’autre par derrière.

Nous en étions là, je m’en souviens, lorsque Noirceuil ne voulant pas qu’il y eût une seule partie de mon corps vacante, vint m’enfoncer son vit dans la bouche pour y faire couler sa dernière décharge, pendant que mon vagin et mon anus recevaient celle des deux gitons ; nous partîmes tous à-la-fois, je n’avais jamais eu tant de plaisir.

Noirceuil à qui ma figure et mes petites méchancetés avaient plu, me retint à souper avec ses deux jeunes gens. Nous mangeâmes dans un cabinet charmant, uniquement servis par madame de Noirceuil, toute nue, à qui son époux promit une scène plus terrible