Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 6, 1797.djvu/180

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traitée d’une manière… — Oh madame, excusez les ordres… Je ne vous en veux point, interrompis-je, en lui tendant une main qu’il baise avec ardeur… Mais il est tems de dîner ; allons nous mettre à table, nous raisonnerons après.

Delcour était un homme de vingt-huit ans, d’une très-jolie figure, et dont l’air et le métier m’échauffèrent aussitôt la tête. Les prévenances que je lui fis étaient l’ouvrage de mon cœur ; après le dîner je lui fis le plus beau jeu du monde. Delcour me convainquit bientôt du succès de mes avances. Son étroite culotte bombait étonnamment, je n’y pus tenir… Sacredieu, lui dis-je, mon amour, voyons donc ce que tu possèdes là. Ce vit superbe échauffe ma tête, ta profession achève de l’enflammer ; je veux absolument que tu me foutes ; puis ayant aussitôt mis à l’air ce superbe instrument, le premier usage que j’en fais selon ma coutume avec tous les hommes, est de le sucer jusqu’aux couilles ; mais à peine celui-là peut-il tenir dans ma bouche ; dès qu’il y est, Delcour s’empare de mon con, il le gamahuche, en deux secondes nous partons tous les deux ; ce beau jeune homme me