Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 6, 1797.djvu/226

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veux pas sucer mon vit parce qu’il y a de la merde ; que deviendras-tu donc tout à-l’heure quand je t’en ferai manger ? Montalme, bien fouettée, revient décidée à tout ; elle suçe le paillard, lui lèche le cul ; et reprenant tranquillement son ouvrage, le voilà, sodomisant la mère, en molestant d’un côté le cul du père, de l’autre le con de la fille. Au bout d’une course peu longue, il reprend cette fille : oh ! pour le coup, dit-il, j’espère que c’est ici que va s’opérer le sacrifice. Toujours servi par moi, Julie est enculée ; il n’y a rien qu’on ne lui fasse pendant ce tems-là, pour déterminer sa décharge ; mais soit méchanceté, soit impuissance, il quitte encore ce cul, en assurant que ce ne sera, qu’en flagellant toute la famille, qu’il retrouvera ses forces épuisées. Le père, déjà placé au poteau, est fouetté le premier. Dès qu’il est en sang, on lui attache sa femme sur le dos ; et quand par plus de mille coups de fouet, il a entr’ouvert les fesses de celle-ci, la petite fille, placée sur les épaules de la mère, est aussi-tôt traitée de même.

Défaisons tout cela, dit le centaure, je n’ai pas encore été satisfait dans cette jouissance ; je veux refouetter cette petite fille,