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Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 6, 1797.djvu/371

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jeune homme, et que Noirceuil coucherait avec Clairwil ; cet arrangement, parut plaire à tous deux, et l’on se retira.

Il me faudra beaucoup de choses, dit Saint-Fond, dès que nous fûmes tous trois seuls, et quelque joli que soit ce bel enfant, je sens que j’aurai beaucoup de peine à bander ; déculotte le moi, Juliette, releve sa chemise sur ses reins, en laissant agréablement tomber sa culotte au bas des cuisses ; j’aime à la folie, cette manière d’offrir un cul ; et comme celui que je présentais était vraiment délicieux, Saint-Fond pollué par moi, le baise fort long-tems, en branlant le vit du jeune homme, que nous vîmes bientôt dans le plus brillant état ; suce-le, me dit mon amant ; moi je vais le gamahucher ; pendant ce tems-là il faut le faire décharger entre nous deux ; ensuite Saint-Fond, jaloux du foutre que j’allais pomper, voulût changer de place avec moi, ce qui s’exécuta si bien, qu’à peine eût-il le vit du jeune homme dans la bouche, qu’il se la sentit remplir de la plus abondante éjaculation ; il l’avala. Oh ! Juliette, me dit-il, que j’aime à me substanter de cette agréable nourriture !… c’est de la crême ; puis ayant