Page:Saint-Amant - 1907.djvu/202

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N’est qu’un poète insipide, Et le fameux Euripide N’a ni grâce ni façon.

Bon Dieu ! qu’elle impertinence l Qui la pourrait supporter ? Cela ferait chevroter La plus sage contenance. Anglois, d’opprobres noirci, Apollon t’apprête ici Une grcle de nazardes. Si jamais tu te hasardes A me reparler ainsi.

Notre admirable Corneille Et mon rare CoUetet Mettront au jour un motet Qui t’estrillera l’oreille ; Les chers L’Estoile et Baro Feront ensemble un haro Sur tes plates comédies. Et cent autres voix hardies T’accoutreront en zéro.

On n’a que faire d’entendre Tes carmes * durs et glacez : C’est de l’anglois, c’est assez. Ils seront réduits en cendre ;