Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/119

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mands ; exhorte le duc de Parme à la patience ; espère gagner le roi de Sicile, 355 ; ce qu’il dit aux médiateurs pour les piquer du point d’honneur, 356 ; sa conversation avec le ministre anglais, 357 ; sa lettre au régent pour l’engager à s’unir au roi d’Espagne, 358 ; il calme les inquiétudes du Portugal et fait connaître en France, en Angleterre et en Hollande les sentiments pacifiques des cours de Madrid et de Lisbonne, 367 ; préliminaires qu’il fait demander à l’empereur, 368 ; sa conduite folle envers la Hollande, 369 ; la santé du roi le rend plus absolu que jamais, 370 ; sa réponse aux plaintes du pape, concernant le bref auquel le roi d’Espagne n’a pas répondu, 381 ; il traite de verbiage et d’illusoire le plan proposé à Londres ; s’étonne de la politique du régent, 382 ; veut intimider le roi d’Angleterre ; sa fausse modestie, 383, 390, 391 ; peu de cas qu’il fait d’un billet qui lui est envoyé par l’abbé Dubois, 391 ; ses efforts pour détourner le régent de la négociation, 397 ; ses ordres à Monteléon et à Beretti, 398, 399 ; ses sentiments sur le traité d’Utrecht, 399 ; il réussit à cacher son véritable projet, 400 ; donne ordre à Monti de déclarer au régent que la résolution est prise de ne faire aucun accommodement avec l’empereur, 401 ; il continue à poursuivre del Giudice ; lui fait renouveler d’ôter les armes d’Espagne de dessus la porte de son palais, 404 ; ses manéges avec le pape au sujet des bulles de Séville, 405 ; il cherche à gagner le cardinal Ottobon, 407 ; se défie également des cardinaux Acquaviva et del Giudice, 413 ; ses desseins sur l’Italie ; il est résolu à la guerre ; il s’ouvre à Cellamare, 414 ; ses exhortations au duc de Parme à qui il fait passer vingt-cinq mille pistoles, 415 ; ses plaintes à l’abbé Dubois, 415 ; il essaye de mettre la nation anglaise en opposition avec son roi, 425 ; ses efforts auprès du régent, 427 ; il fait faire des protestations en Angleterre et en France, 440 ; il essaye de faire prendre parti à la Suède contre l’empereur, 442 ; il rejette le projet apporté par Nancré, 442 ; sa réponse au colonel Stanhope sur l’envoi de troupes en Italie, 443 ; ses grands préparatifs de guerre, 444 ; ses menaces à Rome au sujet de ses bulles de Séville, 445 ; ses motifs pour faire la guerre, 448 ; son emportement en apprenant que l’empereur a consenti au traité de Londres, 453 et suiv. ; sa fureur contre la France ; il traite cependant Nancré avec distinction, et met plus de diligence dans ses préparatifs de guerre, 454 ; irrité du refus des bulles de Séville, il fait renvoyer l’affaire au conseil de Castille avec ordre d’en dire son sentiment, XVI, 17 ; fait intimer au pape un terme fatal pour l’expédition des bulles, 18 ; son entretien avec Corderi, secrétaire d’ambassade de Sicile, 20, et avec Lascaris, nouvel envoyé du même roi, 22 ; il déplore avec ses amis la situation où il se trouve, 22 ; il déclame contre le traité et cherche à circonvenir le maréchal d’Huxelles, 23 ; essaye de s’assurer de l’appui de la Hollande qui recule à entrer dans le traité, 24 ; sa conférence avec Nancré dans la quelle il lui fait connaître ses sentiments sur la cour de Vienne et sur le roi de Sicile et son opiniâtreté dans ses projets, 43 et suiv. ; ses instructions aux ministres d’Espagne en France, en Angleterre et en Hollande, 44 ; sa réponse à une lettre du lord Stanhope, 45 ; vanité qu’il tire des grands préparatifs de guerre qu’il a faits, 45 ; ses menaces contre l’empereur et contre le pape, 48 ; il donne ordre à Beretti d’étaler à la Hollande les forces de l’Espagne, 56 ; ses reproches à Monteléon ; il se déchaîne contre l’Angleterre et contre le régent, 58 ; se défie des protestations du roi de Sicile, 60 ; bruits divers sur l’intelligence entre les cours de France et d’Espagne, 61 ; Albéroni dit clairement au colonel Stanhope que le roi acceptera le projet de traité s’il obtient de conserver la Sardaigne ; réponse des ministres anglais, 62 ; fausseté d’Albéroni au sujet de la Sardaigne, 64 ; il ne cesse de décrier la conduite de Monteléon ; pourquoi, 72 ; ses chimères, 73 ; il traite l’abbé Dubois de visionnaire, 74 ; fait l’étalage des forces de l’Espagne ; nomme le marquis de Lede général de l’armée ; cherche à consoler le prince Pio de ne lui avoir pas donné le commandement, 74, 75 ; inquiétudes que lui cause la santé du roi, 77 ; comment il trompe le roi de Sicile sur la destination de la flotte d’Espagne, 82 ; ses discours en apprenant le départ de l’escadre anglaise, il réitère la description qu’il a déjà faite de l’état de la flotte espagnole, 108 ; donne ordre aux ambassadeurs d’Espagne de déclarer que leur maître n’acceptera pas le traité, 110 ; comment il traite le régent et le roi d’Angleterre, 111 ; se loue de la conduite de Nancré ; accuse l’abbé Dubois ; conséquence de