Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/147

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sang-froid en recevant l’ordre, 382 ; est nommé pour aller commander en Languedoc, 389 ; achève d’y anéantir les fanatiques, V, 21 ; fait le siége du château de Nice et s’en rend maître, 101 ; est fait maréchal de France avant l’âge de 36 ans et reçoit ordre de retourner en Espagne, 141 ; arrive en Estrémadure ; état de ses forces et de celles des ennemis, 167 ; malgré son art et ses manœuvres, il ne peut empêcher l’armée portugaise de s’approcher de Madrid, 189 ; marche vers Burgos avec le roi d’Espagne, 189 ; change la face de la guerre ; fait reculer l’armée ennemie, 190 ; poursuit l’archiduc ; prend Cuença, 191 ; et Carthagène, 264 ; se voit dans la nécessité de reculer un peu devant les ennemis ; les attire dans les plaines de Valence, 403 ; attend avec impatience l’arrivée du duc d’Orléans pour leur livrer bataille ; informé par Asfeld de leur approche, il approuve les dispositions qu’il a faites et se prépare à combattre ; bat et met en fuite les ennemis à Almanza, 404 ; va au-devant de M. le duc d’Orléans ; comment il en est accueilli, 406 ; est fait grand d’Espagne de première classe ; reçoit en présent les villes et territoires de Liria et de Xérica, 411 ; est fait chevalier de la Toison d’or, 412 ; est mandé pour venir commander en Provence sous Mgr le duc de Bourgogne, VI, 95 ; pourquoi il reçoit contre ordre, 100 ; est nommé pour aller com mander sur le Rhin sous l’électeur de Bavière, 221 ; il mène en Flandre 34 bataillons et 65 escadrons, 308 : sa présence en Artois sert à en faire retirer les ennemis qui y ont fait des courses et levé des contributions, 374 ; il joint le duc de Bourgogne à Ninove, 382 ; prend l’ordre du duc de Vendôme avec une indignation dont il ne se cache pas ; déclare publiquement qu’il remet son armée à Mgr le duc de Bourgogne et qu’il ne se mêlera de quoi que ce soit, 382 ; uniquement attaché à suivre le duc de Bourgogne, il se borne à lui dire ce qu’il pense et à témoigner son mécontentement et son inutilité, 383 ; il est aigrement repris par M. de Vendôme et maltraité par sa cabale, 384 ; s’oppose aux entreprises vaines et ruineuses du prince, 407 ; va à Bruges prendre le commandement de 4 bataillons et de 50 escadrons ; pressé par les principaux officiers d’attaquer un convoi des ennemis, il leur ferme la bouche en leur montrant l’ordre de la cour qui commet cette expédition au comte de La Mothe, 413 ; combat l’avis de M. de Vendôme concernant la garde de l’Escaut ; nouvelles altercations entre eux, VII, 3 ; reçoit ordre d’aller prendre le commandement des troupes restées sur le Rhin, et peu après celui de prendre les quartiers d’hiver, 4 ; il revient à la cour et ne se contraint ni en public ni en particulier sur M. de Vendôme et sur ce qui s’est passé en Flandre, 26 ; est nommé pour aller commander en Dauphiné, 111 ; bat le général Reybender auprès de Briançon, 355 ; est envoyé en Flandre comme modérateur des conseils, VIII, 346 ; sa fortune rapide ; il se fait nommer duc et pair, 347 ; obtient l’exclusion formelle de son fils aîné dans ses lettres de duc et pair et y appelle tous ceux de son second lit ; ses projets de fortune pour ses enfants, 378 ; il achète en Beauvoisis une terre qu’il fait ériger sous le nom de Fitz-James ; raison de ce nom donnée au roi par Berwick lui-même, 348 ; il se rend en Flandre ; recueille les avis des officiers généraux ; vient en rendre compte au roi ; est reçu duc et pair au parlement ; aventure plaisante au festin qui suit cette réception, 349 et suiv. ; il fait lever le siége de Girone dont il relève la garnison ; revient à la cour où il est bien reçu, X, 304 ; est nommé pour aller faire au roi d’Espagne les compliments de condoléance et faire le siége de Barcelone, XI, 62 ; ouvre la tranchée devant cette ville, 121 ; emporte le chemin couvert de la place, 158 ; se couvre de gloire par la prise de Barcelone et par le bon ordre qu’il y rétablit, 226 et suiv. ; vient à Marly où il a une longue audience du roi, 249 ; est nommé pour aller commander en Guyenne, XIII ; il renvoie sa patente ne voulant pas être soumis au comte d’Eu ; malgré le mouvement que se donnent les bâtards et les princes du sang il tient bon, et sa patente est réformée, 125 ; il établit en Espagne son fils aîné Tinmouth et lui cède sa grandesse, 192 ; il obtient pour son second fils la survivance de son gouverne ment du Limousin, XVII, 37, s’engage d’accepter le commandement de l’armée qui doit agir contre l’Espagne en cas de rupture ; étonnement que cause cet engagement, 59 ; fait le siége de Fontarabie, qui capitule ; assiége Saint-Sébastien, qui capitule aussi, 213 ; prend la Seu d’Urgel et finit la campagne, 285 ; revient