Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/170

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ner le régent de suivre la négociation, 397 ; ses avis à Albéroni sur les intentions du régent, 402 ; ses propos publics, 404 ; il résiste aux représentations et aux menaces de l’ambassadeur Stairs, 404 ; sa conduite et ses discours entière ment conformes à l’esprit et au goût d’Albéroni ; il décrie toutes les conditions du traité qui se négocie à Londres, 426 ; ses sourdes menées ; il cherche à remuer le nord contre l’empereur, 428 ; suivant les ordres du roi son maître il me cesse de parler contre le traité de Londres ; blâme la politique du régent, 449 ; ses manéges avec les ministres étrangers, 450 ; il déclare que jamais le roi son maître n’acceptera le traité que l’empereurvient de consentir, 451 ; avec quelle adresse il donne de bons avis à son gouvernement, XVI, 8 et suiv. ; d’après l’ordre de sa cour il se plaint hautement des propositions contenues dans le projet de traité présenté au roi par Nancré, 35 ; conseille au ministre d’Espagne de ne pas se relâcher sur les préparatifs de guerre, 36 ; il donne une attention particulière à ce qui se passe en Bretagne, 37 ; il fait voir à Provane et à beaucoup d’autres les ordres qu’il a reçus de faire connaître la répugnance du roi son maître à souscrire au traité de Londres, 41 ; essaye de consoler et d’adoucir son oncle le cardinal del Giudice en l’assurant que la cour de France est très satisfaite de la conduite qu’il tient à l’égard de la constitution, 50 ; il répond à un libelle publié par les Allemands, 51 ; reçoit ordre du roi de répandre dans Paris que Sa Majesté Catholique ne recevra la loi de personne, et qu’elle veut demander compte aux états généraux de France de la conduite du régent, 59 ; il fait valoir à sa cour les démarches qu’il fait auprès des principaux membres de la régence de France ; pense qu’il faut ménager le roi de Sicile, 71 ; s’émancipe dans ses discours contre le régent ; veut réparer auprès de lui ce qu’il a dit, mais n’abandonne pas ses pratiques secrètes, 81 ; se plaint à sa cour de la conduite du régent ; se vante des protestations qu’il a faites, 100 ; avis qu’il donne au roi son maître en croyant le servir fidèlement ; il exhorte son oncle qui est à Rome à demeurer dans une espèce de neutralité, 101 ; avoue à sa cour que rien ne pourra changer les dispositions du régent, 104 ; Comment il attire la vengeance de l’empereur sur lui et sur sa famille, 120 ; il anime et fortifie les intrigues et les cabales secrètes qu’il entretient depuis quelque temps à la cour de France, 121 ; ses vues et ses projets ; dans le but apparent d’empêcher la conclusion de la quadruple alliance, il se croit tout permis ; ses intrigues, faux bruit qu’il répand contre le duc d’Orléans, 153 : il excite Provane, envoyé du roi de Sicile, contre le projet de traité ; essaye en vain d’en faire voir l’injustice ; fait agir l’envoyé de Russie, 154 ; il fait passer par ordre de son maître un émissaire secret à Stockholm ; dans quel but, 155 : se voit réduit à fonder ses espérances sur les dispositions qu’il croit apercevoir en France en faveur du roi d’Espagne, et sur la division prochaine entre la cour et le parlement, 284 ; communique au régent et aux maréchaux d’Huxelles et de Villeroy un mémoire qu’il a fait contre les propositions du ministre d’Angleterre, 160 ; excite Beretti à continuer de représenter aux Etats généraux qu’il est de leur intérêt d’observer une neutralité parfaite, 174 ; est mécontent des Anglais et surtout de Stairs ; fait de vains efforts pour découvrir quelques circonstances de ce qui se passe, 174 ; sur quoi il fonde ses espérances en France ; comment il est tenu dans l’incertitude par le régent, 198 ; ses précau tions, 200 ; il presse le ministre du czar de représenter au régent de quelle utilité serait pour son maître une ligue des princes du nord, 213 ; cherche à faire entrer le czar et le roi de Suède dans une ligue avec l’Espagne en faveur du prétendant, et à les exciter à traverser les desseins du régent, 214 ; il continue ses conférences secrètes avec le duc d’Ormond, 223 ; envoié à Madrid le rapport des conférences qu’il a avec les ennemis du régent ; persuade au roi d’Espagne qu’il est de son intérêt d’avoir à son service un corps de troupes françaises, 224 ; est effrayé des obstacles que le gouvernement de France apporterait à de telles levées ; recueille tous les bruits de la ville et rend compte à sa cour de tout ce qu’on suppose contre le gouvernement du régent, 225 ; ses espérances, 226 ; il continue ses menées secrètes contre le régent, 237, 238 ; son projet concerté avec Albéroni pour soulever tout le royaume contre le gouvernement de M. le duc d’Orléans ; sur quels appuis il compte, XVII, 72 ; il de-