Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/200

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mont, 263 ; par quelle adresse il le fait échouer, 263 ; entre au conseil de régence, 285 ; sa friponnerie et ses manéges dans l’affaire du chapeau de cardinal accordé à M. de Mailly ; comment il est dupe de l’abbé de Fare-Lopis, 339 et suiv. ;’sa joie à la chute d’Albéroni à laquelle il a contribué, 355 ; pourquoi il déplaît au roi, 360 ; détourne le régent de faire faire le procès au premier président de Mesmes, 407 ; pourquoi, 408 ; comment il se fait nommer archevêque de Cambrai ; dialogue curieux entre le régent et lui, 421 et suiv. ; son embarras pour prendre les ordres, 422 ; sa fureur contre le cardinal de Noailles qui lui refuse un démissoire, 423 ; obtient un bref pour recevoir à la fois tous les ordres ; est fait sous-diacre, diacre et prêtre à Pontoise : paraît le même jour au conseil de régence, 424 ; maligne plaisanterie qu’il y essuie de la part de M. le prince de Conti ; il se compare à saint Ambroise, 425 ; ne peut pardonner à M. de Saint-Simon d’avoir exhorté le régent à ne point aller à son sacre, 430 ; est sacré au Val-de-Grâce par le cardinal de Rohan ; magnificence de cette cérémonie, 430 et suiv. ; dans sa joie du raccommodement du roi Georges avec son fils le prince de Galles, il fait nommer le duc de La Force ambassadeur pour aller complimenter ce prince, 477 ; pourquoi l’ambassade n’a pas lieu, 478 ; l’abbé Dubois n’ose soutenir Law contre tout le monde, mais ne veut pas non plus se brouiller avec lui ; XVIII, 7 ; va de la part du régent demander les sceaux à d’Argenson, 19 ; fait passer au conseil de régence sans qu’on y prenne les voix des lettres patentes pour accepter la constitution Unigenitus ; s’acquiert ainsi un grand mérite auprès des jésuites et de tous ceux qui la favorisent ; dans quel but, 47 et suiv. ; la fait enregistrer au grand conseil, 50, 51 ; croyant plaire au roi d’Angleterre, il obtient du régent que le roi aille faire visite à la duchesse d’Hanovre de retour à Paris, 71 ; négocie le rappel du parlement ; à quelle condition, 76 ; forte conversation entre le régent et le duc de Saint-Simon sur l’abbé Dubois, 112 et suiv. ; sa joie en apprenant la mort du pape Clément XI ; quelle en est la cause, 142 ; comment il reçoit la nouvelle de sa nomination au cardinalat, 174 ; en recevant la calotte rouge des mains du roi, il détache sa croix épiscopale et la présente à l’évêque de Fréjus, 175 ; ses visites aux princes du sang royal ; son compliment plein de respect, de modestie et d’adresse, à Madame, 176 ; il adresse Belle-Ile à M. de Saint-Simon auquel il fait proposer un raccommodement ; à quelles conditions, 178 ; sa conduite avec M. de Saint-Simon, 187 et suiv. ; son audace et son bonheur inouï dans la négociation du double mariage avec l’Espagne, 224 ; ses efforts pour faire échouer M. de Saint-Simon dans son ambassade, 227 ; et pour lui susciter des embarras et des tracasse ries en Espagne, 230 et suiv. ; ses étranges procédés envers lui ; piéges qu’il lui tend, 241, 247, 248 ; il enlève les postes à M. de Torcy, 250 ; lettre curieuse qu’il adresse à M. de Saint-Simon pour lui annoncer que le prince de Rohan est chargé d’aller faire l’échange des princesses de France et d’Espagne, 328 ; son mécontentement de ce que l’empereur a donné l’ordre de la Toison d’or au fils aîné du duc de Lorraine ; embarras où il met M. de Saint-Simon quant à ses dépenses, ne pouvant le ruiner autrement, 344 ; il fait entrer le cardinal de Rohan au conseil de régence ; à quel dessein, XIX, 249 ; sa lettre à M. de Saint-Simon pour lui annoncer cette nouvelle, 250 ; fantôme de cabale dont il essaye d’effrayer le régent, 252 ; il donne ordre à M. de Saint-Simon d’en informer le roi et la reine d’Espagne, et de les rassurer sur cette cabale, 253 ; nom des personnages qu’il suppose de la cabale, c’est à-dire qui peuvent nuire à ses vues, 255 ; pourquoi il veut réconcilier le duc de Berwick avec le roi d’Espagne et l’envoyer ensuite en ambassade à Madrid, 256 ; pourquoi il veut tenir M. de Saint — Simon éloigné, 258 ; comment il accorde à un officier tout ce que M. de Saint-Simon avait demandé pour lui, 305 ; pourquoi il fait retourner la cour à Versailles, 318 ; sa conduite avec M. de Saint-Simon, 319 ; il fait exiler le duc de Noailles, 322 ; ne pouvant faire éloigner le maréchal de Villeroy, il cherche à le gagner, 322, 323 ; charge le cardinal de Bissy de travailler à leur rapprochement, 327 et suiv. ; reçoit chez lui le maréchal et Bissy ; accueil prévenant qu’il fait au maréchal, 328 ; scène violente du maréchal, 329 et suiv. ; Dubois reste confondu ; se rend chez M. le duc d’Orléans, 330, 331, sa fureur et sa rage ; ses plaintes au régent ;