Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/207

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aussitôt après la mort de son père, le roi lui donne le gouvernement, la charge et la pension qu’il avait et déclare qu’il s’appellera M. le Duc comme lui, VIII, 121. Voy. le second article Duc (M. le).

ENREGISTREMENT. Comment le parlement s’en était arrogé le droit, V, 441.

ENTRAGUES (D’), gentilhomme du Dauphiné et colonel du régiment des vaisseaux, sauve la ville de Crémone, III, 372 ; meurt de ses blessures, 376.

ENTRAGUES (D’), cousin germain de la princesse de Conti, a une violente prise au bal avec le chevalier de Bouillon pour Mme de Barbezieux ; le duc d’Orléans les accommode sur-le-champ, V, 144.

ENTRAGUES (l’abbé d’), aumônier du roi, est nommé évêque de Clermont, XIII, 328.

ENTRAGUES (l’abbé d’), du nom de Cremaux ; son origine, XVII, 90 ; son extérieur ; singularité de son caractère, 376 ; ses aventures, 377 ; sa mort, 379.

ENTRÉES CHEZ LE ROI (grandes, simples et autres), ce que sont ces différentes entrées, à qui elles étaient accordées ; abus qu’on en fait sous le régent ; le cardinal Dubois fait rapporter les brevets à tous ceux qui en avaient, XIV, 201 et suiv. ; XIX, 441 et suiv.

ÉPERNON (le duc d’), comment son duché-pairie s’éteint dans sa postérité, I, 166.

ÉPERNON (Mme d’), fille du dernier duc d’Épernon, meurt en odeur de sainteté aux Carmélites du faubourg Saint Jacques, III, 208 ; était souvent visitée par la reine, Mme la Dauphine et Mme la duchesse de Bourgogne, 209.

ÉPERNON (le duc d’), fils du duc d’Antin, épouse la seconde fille du duc deLuxembourg, XIX, 311.

ÉPICES. Ce que c’était dans l’ancienne procédure, XI, 468.

EPINAI (Mme d’) ; est nommée dame d’atours de Mme la duchesse d’Orléans, XV, 332.

ERSKIN, médecin écossais, confident et ministre du czar et cousin germain du comte de Marr, écrit à celle-ci pour lui faire connaître les intentions du czar en faveur du prétendant, XIV, 141.

ESCALONA (le duc de), voy. Villena (le marquis de).

ESCURIAL ; description de ce palais, XVIII, 352 et suiv.

ESPAGNE. Extrait des papiers du duc de Noailles, relatifs aux affaires d’Espagne, VI, 461 ; note sur son état en 1709, VII, 449 ; mémoire pour le marquis de Blécourt, envoyé extraordinaire du roi en Espagne, 453.

ESPINCHAL (D’), colonel est tué à l’affaire de Murcé en Italie, IV, 145.

ESPINOY (Mme d’), meurt subitement ; sa famille, II, 177 ; son mari ; son second mariage avec M. Pelletier ; sa liaison avec M. de Louvois, 178 ; elle marie son fils avec Mlle de Commercy ; ses filles ; son caractère, 179.

ESPINOY (Mme d’), sa liaison avec Chamillart ; sa beauté ; sa douceur ; son esprit ; son caractère, III, 195 ; V, 426 ; son extérieur, 427 ; sa liaison avec le chevalier de Lorraine ; avec le maréchal de Villeroy ; avec Monseigneur ; confiance qu’elle inspire au roi par le moyen de ce prince, 427, et par suite à Mme de Maintenon ; trait fort étrange qui prouve cette confiance, 427 ; sa liaison avec Monseigneur soutenue et respectée par Mlle Choin et par Mme la Duchesse, 430 ; son union avec elles, 431 ; ses liaisons avec M. de Vendôme, 361 ; elle obtient du roi, par Mme de Maintenon, l’abbaye de Remiremont pour sa sœur Mlle de Lislebonne, IX, 273 ; elle se retire peu à peu de Mme la Duchesse, 277 ; elle marie sa fille avec le fils unique du prince de Rohan, XI, 224.

ESPINOY (le prince d’), meurt à Strasbourg de la petite vérole ; son esprit ; sa valeur ; sa folle vanité gâte toutes ses bonnes qualités ; sa conduite envers sa femme le fait peu regretter, IV, 348.

ESPINOY (le prince d’), est fait duc et pair, XI, 236 ; il prend le nom de duc de Melun, 238 ; obtient la permission d’être reçu au parlement avant l’âge de vingt-cinq ans, 270.

ESTAING (d’), reprend Asti, V, 214 ; il soutient seul avec courage, dans un conseil de guerre, l’avis proposé par M. le duc d’Orléans, 233 ; bat et dissipe en Catalogne un grand nombre de miquelets, VI, 433 ; marie son fils à la fille unique de Mme de Fontainemartel ; le régent donne la survivance du gouvernement de Douai au nouveau marié, XIV, 117 ; qui obtient le gouvernement vacant par la mort du vieux Pomereu, XVII, 38.

ESTAING (le fils unique d’), aide de camp de Joffreville, est tué au siége de Fontarabie, XVII, 213.

ESTAIRES (le comte d’), porte la nouvelle de la prise de Girone au roi d’Es-