Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/262

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comte d’Ayen, 114 ; dons qu’il fait aux époux, 114 ; prend le deuil en noir pour M. le prince de La Roche-sur-Yon, fils de M. le prince de Conti, 116 ; donne à M. de Rosen 290 000 livres que M. Bullion offre pour le gouvernement du Maine et du Perche, 117 ; déclare la formation d’un camp à Compiègne ; dans quel but, 120 ; consulte M. l’archevêque de Paris sur le renvoi de M. de Beauvilliers qu’il voudrait remplacer par M. de Noailles, 124 ; belle réponse de l’archevêque, 126 ; décide avec M. de Beauvilliers lui-même la disgrâce de quatre personnes subordonnées au duc, 127 ; paye les dettes de M. de La Rochefoucauld et donne 40 000 écus à M. le Grand et 20 000 au chevalier de Lorraine, 169 ; fait mettre à la Bastille le grand prieur, M. de Vendôme ; pourquoi, 173 ; donne audience à l’envoyé de l’électeur de Saxe qu’il reconnaît publiquement roi de Pologne, 174 ; se rend au camp de Compiègne, 186 ; s’amuse à voir et à faire voir aux dames tous les détails d’un camp, 187 ; il mène dîner au camp le roi d’Angleterre, 187 ; fait faire le siége de Compiègne dans les formes, 19o ; Mme de Maintenon y assiste en chaise à porteurs ; attentions du roi pour elle, 191, 192 ; bruit que fait dans le camp et chez l’étranger le spectacle de cette chaise et du roi debout devant, 193 ; gratifications accordées par le roi au maréchal et à tous les officiers des régiments présents au camp, 194 ; sa dispute avec le P. La Chaise au sujet de l’abbé régulier de la Trappe, 205 ; il porte le deuil du fils de M. du Maine, et ordonne à Mme la Duchesse et à la princesse de Conti de le porter, 213 ; ne veut point porter le deuil du prince royal de Danemark ; pourquoi, 223 ; refuse souvent de faire évêque l’abbé Fleury, 225 ; importuné par l’archevêque de Paris, il le nomme à regret à l’évêché de Fréjus ; ses paroles prophétiques en accordant cette nomination, ? 27 ; entre prend la chapelle de Versailles, l’église des Invalides et l’autel de Notre-Dame de Paris, 228 ; fait fouiller dans la maison du chancelier Le Tellier pour y trouver un trésor qu’on dit y être enfoui ; fait mettre en prison celle qui a donné ce faux avis, 254 ; reçoit un ambassadeur du roi de Maroc ; fait un traité avec ce prince, 260 ; défend à M. de Cambrai de prendre désormais la qualité de précepteur des enfants de France, 264 ; témoigne publiquement sa joie de la condamnation prononcée par la cour de Rome contre le livre des Maximes des saints ; réponse que lui fait le duc de Beauvilliers quand il la lui annonce, 264 ; adresse une lettre à tous les métropolitains du royaume par laquelle il leur mande d’assembler leurs suffragants pour prononcer sur la condamnation de ce livre ; puis fait enregistrer la bulle en conséquence de l’adhésion des évêques de France, 266 ; paye les dettes de Mme la Duchesse, de Monseigneur et fait une pension secrète au duc de Chartres, 276 ; rappelle de Neuchâtel le prince de Conti, les ducs de Lesdiguières et de Villeroy, Matignon et Mme de Nemours ; pourquoi, 28o ; vol considérable fait dans sa grande écurie à Versailles ; les auteurs restent inconnus, malgré toutes les recherches, 280 ; autre vol étrange de crépines et de franges d’or fait dans le grand appartement du roi et rendu d’une manière plus étrange encore ; détails à ce sujet, 281 ; sang-froid du roi, 282 ; il ordonne à M. de Beauvilliers de prendre la place du chancelier à la grande direction, quand celui-ci est absent, 286 ; reçoit en secret un maréchal de Salon en Provence ; ses paroles à M. de Duras sur ce maréchal, 289 ; comment il le traite, 290 ; secret ignoré du public, 291 ; le roi prend parti pour M. de Bouillon contre son fils le duc d’Albret, 292 ; veut que M. du Maine, nommé grand maître de l’artillerie, prenne place à la chambre des comptes entre le premier et le second président, 294 ; accorde de nouvelles distinctions aux filles d’honneur de la princesse de Conti, 294 ; inauguration de sa statue à la place Vendôme, 294 ; il refuse audience au comte de Zezindorf, envoyé de l’empereur ; pourquoi, 295 : refuse de prendre le deuil pour le roi de Danemark, 295 ; dons qu’il fait au maréchal de Villeroy et au duc d’Enghien encore enfant, 320 ; veut aller surprendre Mgr et Mme la duchesse de Bourgogne lorsqu’ils se mettraient au lit ; nomme quatre personnes de la cour pour être assidûment auprès de Monseigneur, 330 ; reçoit l’hommage lige de M. de Lorraine, 340 et suiv. ; lui fait présent d’une tenture de tapisserie de 25 000 écus, 345 ; annonce par un billet de sa main au nonce Delfini, sa promotion au cardinalat, 360 ; met fin aux disputes élevées entre les jésuites et les bénédictins au sujet d’une belle édition de saint Augustin, 361 ; déclare qu’il ne