Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/266

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loin l’affaire du cartulaire de Brioude, 425, 426 ; se retranche 10 000 louis d’or de ses étrennes ; fait dire à Mme de Montespan qu’il ne peut plus lui donner que 8000 louis par an, 327 ; écrit au duc de Savoie pour lui faire part de la naissance du duc de Bretagne, 332 ; rend un édit qui établit un impôt sur les baptêmes et les mariages, 36o ; suites funestes de cet édit ; séditions dans le Quercy et le Périgord, 361 ; l’édit tombe, au grand regret des traitants, 361 ; le roi, informé de l’enlèvement du premier écuyer, envoie des courriers partout sur les frontières avertir les gouverneurs de garder les passages, 372, 373 ; reçoit avec plaisir le premier écuyer qui a recouvré la liberté, 375 ; défend à la petite écurie les marques de réjouissance qu’elle veut lui donner ; comment il accueille Guetem qui a fait l’enlèvement, 375 ; il fait un règlement qui fixe le nombre de chevaux d’équipage des officiers généraux, 403 ; il prend plaisir devant M. le Prince et devant M. le prince de Conti à louer M. le duc d’Orléans de la prise de la ville et du château de Lerida, 410 ; contenance de ces deux princes, 411 ; honneurs qu’il fait rendre à M. de Vaudemont, 426 ; lui défend de prendre un siége à dos dans ses salons de Marly, VI, 19 ; lui fait entendre que sa nouvelle qualité de souverain, ni sa nouvelle préséance sur la maison de Lorraine ne changent rien à son rang à la cour de France, 23 ; son indifférence à la mort de Mme de Montespan, 49 ; se déclare neutre dans l’affaire de la succession de la principauté de Neuchâtel, 64 ; envoie ordre à Puysieux, son ambassadeur en Suisse, d’aller à Neuchâtel et d’y employer tout, même jusqu’aux menaces, pour exclure de cette succession l’électeur de Brandebourg, 67 ; est fort irrité contre l’évêque de Fréjus pour les honneurs qu’il a rendus à M. de Savoie, 87 ; n’ose pas se déclarer entre les deux ministres Chamillart et Pontchartrain à l’occasion du débat qui s’élève entre eux, 99, 100 ; sa colère contre Mme de Torcy ; à quelle occasion ; comment il la témoigne plusieurs jours de suite chez Mme de Maintenon, en présence des princesses et dames de la cour, 108 et suiv. ; comment M. de Torcy parvient à l’apaiser, 113 ; il fait souper à son grand couvert à Versailles Mademoiselle, fille de M. le duc d’Orléans ; pourquoi, 115 ; va pour la première fois à Petit-Bourg, chez M. d’Antin ; y est reçu avec la profusion la plus recherchée et la mieux entendue, 118 ; fait secrètement consulter Catinat sur les affaires de Provence : le mande à Versailles ; sa conférence avec lui, 128 ; il le réconcilie avec le ministre Chamillart, 129 ; sur la demande de M. de La Trémoille, il accorde le tabouret à la femme de son frère, le prince de Talmont, mais uniquement pour elle et non pour ses enfants, 142 ; à la prière de Mme de Soubise, il essaye de rendre le prince de Léon, le fils de M. le duc de Rohan, traitable pour le mariage, et fait enlever et mettre dans un couvent la comédienne dont il est amoureux, 153 ; fête des Rois à Versailles ; bal chez le roi, 155 ; il consent forcément au mariage du fils de Chamillart avec Mlle de Mortemart ; ses paroles à cette occasion, 167 ; consent par complaisance au projet sur l’Écosse conçu par l’anglais Hough, 186 ; ses paroles étranges en apprenant que la duchesse de Bourgogne enceinte s’est blessée ; détails sur ce sujet, 214 et suiv. ; il fait les honneurs de ses jardins à Bergheyck ; l’envoie à Clichy avec Chamlay et Puységur pour conférer avec M. de Vendôme sur les opérations de l’armée de Flandre, 238 ; son étonnement à leur retour précipité ; geste expressif qu’il laisse échapper en en apprenant la cause, 239 ; il fait voir ses jardins de Marly à Samuel Bernard ; le comble de caresses, 240 ; obtient de lui ce qu’il voulait, 241 ; son indifférence à la mort de Mansart, 246 ; il se déclare lui-même le surintendant et l’ordonnateur de ses bâtiments, 247 ; en donne la charge à d’Antin, malgré la réponse que Monseigneur lui a faite à une question concernant la probité de d’Antin, 250 ; nomme chevalier de l’ordre M. le duc d’Enghien âgé de seize ans, 288 ; instruit par Mme de Maintenon de tout ce que fait contre le duc de Bourgogne la cabale de M. de Vendôme, donne ordre à Chamillart d’écrire de sa part à M. de Vendôme, à Albéroni et à Crosat des lettres fortes et ordre de demeurer en silence, 351 ; obsédé par Bloin et par M. du Maine, il cède à la cabale et reproche plus d’une fois à la duchesse de Bourgogne son humeur et son aigreur, 353 ; reçoit avec froideur les ouvertures de la cour de Rome sur une ligue de l’Italie contre l’empereur ; se décide lentement