Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/312

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NOYELLES (le comte de) fait raser Lawe et Saint-Wilet, dont il s’est rendu maître, V, 36.

NYERT, amuse Louis XIII par sa jolie voix et sa musique, I, 62 ; le duc Claude de Saint-Simon le propose au roi qui le fait son premier valet de chambre, 64 ; autres détails sur Nyert, XVII, 215.

NYERT, fils du président et premier valet de chambre, va en Espagne par curiosité et à son retour entretient longtemps le roi, III, 247 ; son méchant caractère ; sa laideur ; sa mort, XVII, 373 ; son fils honnête homme et modeste, 215.

NYSTADT (paix de), elle met fin à la longue guerre du nord ; dans quel état elle réduit la Suède ; conditions de cette paix, XVIII, 310 et suiv.


O.


O (M. d’), auparavant Villers, lieutenant de vaisseau, est mis auprès de M. le comte de Toulouse avec le titre de gouverneur et d’administrateur de sa maison, I, 363 ; comment il avance sa fortune ; son extérieur, son caractère, 363 ; est nommé pour être auprès de Mgr le duc de Bourgogne, II, 330 ; accompagne M. le comte de Toulouse à Toulon ; est fait chef d’escadre, III, 412 ; empêche ce prince après le combat de Malaga d’attaquer de nouveau l’amiral Rooke que la flotte a rejoint, IV, 330, 331 ; marie sa fille aînée à M. d’Epinay, 425 ; est fait lieutenant général ; se raccommode avec le ministre Pontchartrain, VI, 151 ; sa rencontre avec M. de Saint-Simon ; paroles qu’il lui adresse au sujet de la déclaration du roi en faveur des enfants de M. du Maine, VIII, 150 ; explication de ces paroles, 151 ; quels motifs il fait valoir à M. du Maine pour le porter à favoriser auprès du roi et de Mme de Maintenon le mariage de Mademoiselle avec le duc de Berry, 225 ; obtient une pension de 6000 livres comme menin du Dauphin, X, 27 ; est nommé membre du conseil de marine, XIII, 153 ; il détourne le comte de Toulouse de suivre la fortune de M. et de Mme du Maine, XVII, 21.

O (Mme d’) est nommée dame du palais de Mme la duchesse de Bourgogne, I, 351 ; son père, ambassadeur à Constantinople ; elle épouse Villers, lieutenant de vaisseau, près des ruines de Troie ; est présentée à Mme de Maintenon ; fortune des deux époux, 362 ; esprit romanesque et galant de Mme d’O : elle plaît par ses complaisances ; ses intrigues ; son manége ; son genre de vie opposé à celui de son mari, 364.

OBDAM, grand écuyer du roi Guillaume, succède au comte d’Athlone dans le commandement des troupes hollandaises, IV, 131 ; est battu par le maréchal de Boufflers, 131 ; s’embarque à Lillo et va rendre compte à la Haye de son malheur, 132.

OBRECHT, préteur royal de Strasbourg, est envoyé auprès de l’électeur palatin, II, 90.

OBSERVATOIRE de Paris ; mémoire des dépenses qu’y a faites Louis XIV jusqu’en 1690, XII, 522.

OLONE (le duc d’) épouse la fille uni que de Vertilly, maréchal de camp, XIV, 208.

OLONE (la duchesse d’) meurt de la petite vérole ; son éloge, XIV, 50.

ONATE, Velez da Guevara (le comte d’), grand d’Espagne ; historique sur sa maison, XVIII, 458.

ORAN, est prise par les Maures ; la garnison se retire avec une capitulation honorable, VI, 180.

ORANGE (le prince d’) écrit plusieurs fois au prince de Vaudemont, son ami intime, la position désespérée où il est, I, 86 ; il lui mande qu’une main amie qui ne l’a jamais trompé l’informe de la retraite du roi ; par un second billet que sa délivrance est certaine, 89 ; il combat jusqu’à la fin de la bataille de Neerwinden, 100 ; quitte l’armée et se retire en Hollande, 105 ; investit Namur, 272 ; qui capitule, 279 ; insulte à la perte des Français, quand il apprend toutes les récompenses données à tous ceux qui ont défendu Namur, 281 ; raisons qui le déterminent à presser la conclusion de la paix de Ryswick, II, 34 ; il donne ordre à Portland de conférer avec le maréchal de Boufflers, 35. Voy. Guillaume, roi d’Angleterre.

ORANGE (la princesse d’), fille de Jacques II, meurt à Londres fort regrettée ; le roi de France, à la demande du roi Jacques, défend qu’on prenne le deuil à sa cour, I, 241.

ORCAMP (les religieux de l’abbaye d’), belle action de ces moines à l’égard de deux enfants gentilshommes, XVII, 245.

ORCEY, frère de Mme de Montche-