Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/319

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quoi le régent l’a faite, 193 ; il fait une défense générale d’aller faire la guerre en Hongrie, 211 ; il défend les jeux de la bassette et du pharaon, 286 ; défend au bailli de Mesmes toutes assemblées de chevaliers de Malte à moins que ce ne soit pour affaires de leur ordre, 299 ; refuse de recevoir le mémoire de la noblesse contre les ducs, 299 ; rend un arrêt au conseil de régence qui ordonne aux princes du sang et aux bâtards de remettre entre les mains du roi les mémoires respectifs faits et à faire sur leur affaire, 317 ; autre arrêt qui fait défense expresse à tous nobles du royaume de signer la prétendue requête de la noblesse contre les ducs, 319 ; six commissaires sont nommés par le conseil de régence pour examiner les mémoires des princes du sang et des bâtards, 333 ; édit rendu sur cette affaire ; le régent le modère le plus qu’il peut, 343 ; nomme un comité pour entendre et discuter les projets de M. de Noailles sur les finances, 410 ; achète le diamant appelé le Régent, 417 ; averti de la prochaine arrivée du czar en France, il envoie les équipages du roi pour aller l’attendre à Dunkerque, 424 ; nomme le maréchal Tessé pour accompagner ce prince, 425 ; envoie le marquis de Nesle à Calais pour le recevoir, 425 ; va voir le czar, 428 ; il n’oublie rien pour calmer les troubles du nord ; dispose le roi d’Angleterre à relâcher le comte de Gyllembourg, ambassadeur de Suède à Londres, XV, 20 ; à la sollicitution du maréchal de Villeroy, il donne entrée au conseil de régence au maréchal de Tallard, 36, 37 ; accorde aux conseillers du grand conseil de faire souche de noblesse ; les exempte des lods et vente des terres et maisons relevant du roi, 40 ; au moyen de quel mezzo termine, il assiste à la procession du 15 août, 42 ; étonnement dans le public ; discours semés à ce sujet, 43 ; résolutions prises par le comité des finances assemblé chez M. le duc d’Orléans, 57 ; faiblesse de ce prince à l’égard du parlement touchant l’enregistrement de l’édit sur les finances, 57, 58 ; il envoie en Bretagne quatre lettres de cachet pour ordonner à quatre gentilshommes de cette province de venir rendre compte de leur conduite, 231, embarrassé des entraves continuelles que le chancelier et le duc de Noailles mettent aux opérations de Law, il fait un dernier effort pour les rapprocher, 238 ; conférence qu’il a avec eux à la Roquette ; quel en est le résultat, 239 ; ses bonnes intentions pour le soulagement du peuple et la levée des tailles sont entièrement trompées, 243 ; comment il est dupe du premier président et de d’Effiat, 245 ; sa crainte du parlement ; par qui elle est entretenue et nourrie, 248 ; son entretien avec Saint Simon sur cette compagnie ; colère singulière contre lui, 259 et suiv. ; après avoir entendu les remontrances du parlement il fait répandre un grand nombre de copies de lettres patentes enregistrées au parlement en présence de Louis XIII, lesquelles réduisent cette compagnie aux termes de son devoir et de son institution de simple cour de justice, 251 ; ses sujets de mécontentement contre le chancelier et le duc de Noailles ; il en entretient souvent Saint-Simon 252 et suiv. ; il le consulte pour savoir à qui il donnera les finances et les sceaux, 257 ; déclare d’Argenson garde des sceaux et président des finances, 261 ; accorde une place dans le conseil de régence au duc de Noailles, 260 ; retombe dans sa faiblesse naturelle ; accorde de nouvelles faveurs au duc de Noailles, 265 ; mène au conseil de régence puis au conseil de guerre M. le duc de Chartres son fils, 267, 268 ; donne audience aux députés du parlement, 268 ; pressé par Madame, il a la faiblesse d’accorder an duc de Lorraine un agrandissement en Champagne et le traitement d’Altesse Royale ; mais embarrassé pour l’exécution, il charge Saint-Contest de faire le rapport de cette double affaire au conseil de régence, 280 et suiv. ; elle y est adoptée sans contradiction, 286 ; M. le duc d’Orléans se divertit un jour aux dépens de Saint-Simon, 288 et suiv. ; il fait de lui à M. le duc de Chartres un pompeux éloge, 291 ; sa conduite avec ses maîtresses, 293 ; il accorde aux présidents des conseils l’entrée au conseil de régence ; paye à Rion le régiment de Berry cavalerie, qu’il lui change ensuite pour les dragons-Dauphin ; accorde 10000 livres de pension à Maupertuis, ancien capitaine des mousquetaires ; et des survivances aux fils d’Heudicourt et de La Chaise, 307 ; il déclare au conseil de régence qu’il faut pourvoir à la dureté de la cour de Rome et fait nommer un bureau pour aviser au moyen de faire sacrer les évêques nommés et se passer de bulles, 334 ; accorde à la vieille duchesse de Portsmouth 8000 livres d’aug-