Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/320

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mentation de pension, 344 ; grande faveur pécuniaire qu’il fait à M. le prince de Conti, 345 ; ses manéges avec l’ambassadeur Cellamare qui veut l’entraîner dans la guerre de l’Espagne contre l’empereur, 384 ; les ministres de l’empereur et du roi d’Angleterre pour le faire entrer dans leurs vues essayent de l’alarmer, 387 et suiv. ; plaintes des ministres d’Angleterre contre la conduite et la politique du régent, 417 et suiv. ; ce prince travaille à servir et à lier étroitement le roi de Prusse, 429 et suiv. ; duplicité des ministres anglais à son égard, XVI, 28 ; pourquoi ils le pressent de conclure sans perdre de temps, 29 ; le régent fait proposer au roi d’Angleterre de conserver à l’Espagne la possession de la Sardaigne, 37 ; à la demande de l’empereur, il consent qu’on mette des garnisons dans les places des États de Toscane et de Parme ; propose des troupes anglaises, 84 ; puis des troupes suisses pour ôter toute ombre de soupçon, 84 ; embarras où il se trouve relativement à l’édit sur la monnaie ; espérances diverses qu’en conçoivent les ministres étrangers, 123 ; accueil favorable qu’il fait au comte Stanhope, 129 ; il offre à Provane, envoyé de Sicile, de parier que la flotte d’Espagne fait voile vers la Sicile et qu’elle débarquera sur les côtes de cette ile ; il ajoute qu’on soupçonne son maître d’être d’intelligence avec le roi d’Espagne ; lui dit sur quel fondement et à quelle condition il signera lui-même la quadruple alliance, 159 ; ses discours contradictoires à l’envoyé de Sicile augmentent l’incertitude de cet agent sur l’état des négociations, 171 ; il ordonne au maréchal d’Huxelles de signer le traité d’alliance ou de se démettre, 173 ; comment il amuse le prince de Cellamare et le tient dans l’incertitude sur l’état de la négociation, 198 ; il déclare que si le roi d’Espagne ne retire ses troupes de la Sicile, il ne pourra refuser l’effet de sa garantie, 201 ; offre à Provane, envoyé de Sicile, ses secours pour le roi son maître, mais se moque en particulier du roi de Sicile, 203 ; par quels moyens il cherche à assurer le repos de l’Europe, 212 et suiv. ; tient un lit de justice et recouvre son autorité, 236 ; ses réponses au parlement concernant l’édit des monnaies, 233 et suiv. 5 gagne au conseil de régence une cause sur les apanages laquelle intéressait lui et Mme la duchesse d’Orléans, 286 ; rend au roi les 5000 livres par mois qui lui avaient été retranchées, 287 ; il consent enfin à la profession de Mademoiselle sa fille, laquelle a lieu à l’abbaye de Chelles, 288 ; sa réponse laconique aux gens du roi envoyés par le parlement, 290 ; bruits d’un lit de justice ; sur quoi ils étaient fondés ; la lecture des Mémoires de la Fronde devient à la mode, 291 ; espérances des factieux favorisées par les circonstances et par la léthargie du régent, 292 ; par qui ce prince est éclairé sur le danger qu’il court, 294 ; il consulte M. de Saint-Simon, 295 ; il ordonne au duc de La Force et à Fagon, conseiller d’État, de se trouver avec Law chez M. de Saint Simon pour aviser ensemble à ce qu’il fallait faire, 297 ; sa conférence tête à tête avec M. de Saint-Simon, 302 ; il se rend aux raisons qu’il lui donne pour ne pas frapper M. du Maine et le premier président en même temps que le parlement, 304 et suiv. ; le garde des sceaux, La Vrillière et l’abbé Dubois interviennent dans la conférence, 306 ; M. le Duc y est présenté par le Régent, 307 ; ce prince donne ordre à Saint-Simon d’aller chez Fontanieu tout faire préparer pour le lit de justice, 307 ; nouvel entretien avec M. de Saint-Simon, concernant les prétentions de M. le Duc ; 333 ; résolution prise à l’égard de M. de Charolois, 5 ; il propose au conseil de régence de casser les arrêts du parlement, 341 ; son entretien avec M. de Saint-Simon sur les prétentions de M. le Duc, 344 et 353 ; sa conversation avec M. le comte de Toulouse, 355 ; il le rassure sur ses craintes, 356 ; il approuve tout ce qui a été convenu entre M. le Duc et M. de Saint-Simon, 388 ; est pris de la fièvre la veille du lit de justice ; sa conférence avec M. le Duc, M. de Saint-Simon et Millain sur les mesures à prendre pour le lendemain, 404 et suiv. ; le régent pendant la nuit donne ses ordres aux chefs des différentes compagnies de la maison du roi, 421 ; il se rend aux Tuileries pour tenir le lit de justice, 418 (voy. Lit de justice) ; il exige de M. de Saint-Simon qu’il aille à Saint-Cloud rendre compte à Mme la duchesse d’Orléans de ce qui s’est passé au lit de justice, XVII, 4 et suiv. ; sécurité du régent à l’égard des avis que lui fait donner Mme d’Alègre par M. de Saint-Simon, 31 ; sa réponse au parlement qui lui envoie demander la liberté de ses trois membres exilés, 40 ; il supprime les députations diocésaines