Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/411

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à faire le siége de Verue, 371 ; chasse les ennemis qui sont venus attaquer ses retranchements, 401 ; difficultés qu’il éprouve devant la place, V, 7 ; il se laisse enfin persuader de couper la communication qui existe entre la ville et un camp retranché des ennemis ; attaque le fort de l’Isle et l’emporte, 7 ; refuse aux assiégés une capitulation honorable ; les reçoit à discrétion, 8 ; fait raser la Mirandole, Vercelli et trois enceintes de Verue, enlève ou force quelques cassines, 18 ; assiége Chivas sans pouvoir l’investir, 40 ; son opiniâtreté pense tout perdre à la bataille de Cassano, comment il y triomphe 41 ; il se brouille avec son frère, 44 ; comment il fait sa cour au roi et plaît au ministre, à l’occasion du siége de Turin, 69 ; son portrait physique et moral, 132 ; comment il habitue toute l’armée à le traiter de Monseigneur et d’Altesse ; ses goûts sodomites, sa paresse ; son opiniâtreté, 132 ; son genre de vie ; sa malpropreté, 133 ; il veut passer pour le premier capitaine de son siècle et parle indécemment du prince Eugène, 134 ; la manière dont il reçoit l’évêque de Parme dégoûte cet envoyé, 135 ; pourquoi il conçoit de l’attachement pour Albéroni dont il fait son principal secrétaire, 135 ; comment il plaît à M. du Maine, à Mme de Maintenon, au roi et à Monseigneur, 136, 137 ; il se rend à la cour ; comment il est reçu à Marly, 137 ; il est fêté par les ministres et par le peuple ; il va à Anet où se rendent les princes du sang, 139 ; il prétend commander aux maréchaux de France ; il refuse une patente pareille à celle qui avait été donnée à M. de Turenne, 139 ; il offre à son frère, le grand prieur, de le présenter au roi et de lui faire donner une pension de 10 000 écus, 140 ; obtient du roi un billet signé de sa main par lequel Sa Majesté promet qu’en cas que le bien de ses affaires l’exige il enverra en Italie un maréchal de France qui aura ordre de lui obéir, 161 ; s’embarque à Antibes avec son frère ; rejoint son armée ; état dans lequel il la trouve ; bat les ennemis à Calcinato, 162 ; poursuit sa victoire ; prend quatre drapeaux et douze étendards, 162 ; accepte la proposition que lui fait le roi de venir commander l’armée de Flandre ; fait valoir ce consentement comme un sacrifice, 181 ; sa négligence et son incurie donment au prince Eugène toutes les facilités de passer le Pô et de venir au secours de M. de Savoie, 215 ; confère avec M. le duc d’Orléans sur le Mincio ; évite cependant les conférences ou les abrège, 216 ; revoit M. le duc d’Orléans à Mantoue ; ne veut pas goûter ses avis ; laisse passer le Pô aux ennemis ; se montre impatient de partir, 217 ; part au plus vite, laissant au duc d’Orléans le soin de réparer ses propres fautes ; arrive à Versailles ; est reçu comme un héros ; obtient une lettre de la main du roi portant ordre à tous les maréchaux de prendre l’ordre de lui et de lui obéir partout, 218 ; transporté d’aise, il part pour Valenciennes, 219 ; comment il se conduit dans ses relations avec l’électeur de Bavière, 224 ; remet l’armée comme avait fait le maréchal de Villeroy ; se tient à Lille et à Saint-Amand, 225 ; revient à Versailles ; comment il y est reçu, 270 ; est envoyé pour commander en Flandre sous l’électeur de Bavière, 348 ; sa mollesse et sa paresse lui attirent tout à coup l’armée ennemie sur les bras ; comment il parvient à lui échapper, VI, 79 ; il revient à la cour et y est bien reçu, 81 ; obtient 3000 livres de pension pour Albéroni, 155 ; ses conférences devant le roi avec Bergheyck sur le projet de soulever les Pays-Bas ; son ton tranchant et plein de hauteur, 187 et suiv. ; est nommé pour commander en Flandre, sous les ordres de Mgr le duc de BourgOgne, 219 ; travaille avec le ministre Chamillart ; va à la Ferté-Alais, 233 ; revient à Marly ; travaille avec le ministre, avec Mgr le duc de Bourgogne, avec le roi, 234 ; comment il accueille à Clichy Bergheyck, Puységur et Chamlay qui lui sont envoyés par le roi, 238 ; il part pour la Flandre, 239 ; montre peu de complaisance pour sortir de Valenciennes, 288 ; après la soumission de Gand et de Bruges, il reconnaît lui-même l’avantage qu’il y a à passer l’Escaut, mais ne peut être déterminé, même par le duc de Bourgogne, à faire promptement ce passage, 309 ; la nouvelle de l’approche de l’ennemi ne peut hâter sa résolution, 309 ; sur les avis réitérés de M. de Biron, il monte enfin à cheval et donne des ordres, 311 ; combat d’Audenarde, 311 ; la maison du roi y doit son salut à la méprise d’un officier ennemi ; fureur de M. de Vendôme de s’être cruellement mécompté ; paroles insultantes qu’il adresse à Mgr le duc de Bourgogne, 313 ; il veut prouver aux officiers généraux que le combat n’est point perdu ; il or-