Page:Salluste, Jules César, C. Velléius Paterculus et A. Florus - Œuvres complètes, Nisard.djvu/343

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deux légions qu’il avait livrées, et qui, d’après le sénatus-consulte, devaient être menées contre les Parthes, avaient été livrées par le consul C. Marcellus à Cn. Pompée, et qu’elles étaient retenues en Italie. Quoiqu’une telle conduite ne laissât à personne le moindre doute sur les projets tramés contre César, il résolut cependant de tout souffrir, tant qu’il lui resterait quelque espoir de se soutenir par la force de son droit plutôt que par celle des armes (22).