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Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome II, 1831.djvu/78

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grande maison, vois-tu : pas riche, mais noble. Ah, noble !…

— Tant pis.

— Tant pis, vraiment, sans cela, je t’aurais engagé à la demander en mariage. Mais ce serait diablement difficile ; on a des prétentions si élevées pour elle !

— Tu crois ?

— Oh ! rien moins qu’un duc et pair, je le parie.

Diable ! eh bien, j’en fais mon compliment à celui qui l’obtiendra.

Laorens, riant dans sa barbe, s’approcha de Rose dans un moment où elle était isolée des autres groupes. Il croyait que son apparition la glacerait de terreur ; mais elle répondit