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Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/185

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« — C’est très-bien raisonné, répondit la supérieure. » Sœur Scholastique ne pensait pas de même. « Si j’étais supérieure, pensait-elle (et elle avait pris l’habitude de cette supposition au point de dire parfois, quand je serai supérieure), je ne souffrirais point qu’une maison religieuse fût transformée en maison à louer pour les exigences et les fantaisies de ces mondaines désœuvrées qui viennent ici chercher les mérites de la retraite sans en avoir les ennuis.

« — Allons, dit la supérieure après un peu de réflexion, puisque Monseigneur l’approuve, c’est de tout mon cœur ; mais vous ne vous