Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/232

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

peu de chose aux yeux de Dieu auprès de sœur Olympie, lorsqu’aux yeux des hommes la supérieure des Augustines, avec sa fortune, son rang, sa grande naissance et son éducation distinguée, avait tant d’avantage sur la sœur hospitalière. Elle sentait que cette comparaison devait naturellement s’offrir au bon sens de sœur Olympie, et pour l’atténuer autant que possible, elle l’avait reçue la première fois dans sa cellule, où, suivant la règle, régnait une grande simplicité ; mais être surprise à table, devant un repas de friandises complètement inutiles, dans un salon splendide, et au mi-