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Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/233

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lieu de sa petite cour, c’était presque une leçon, et, à coup sûr, c’était un contre-temps. Madame de Lancastre poussa son bol de thé en soupirant. « Il est dit que nous n’aurons pas un instant de repos aujourd’hui, murmura-t-elle. » Sœur Marthe comprit la contrariété de la supérieure, et prit un visage fâché qui ne lui était pas ordinaire pour aller à la rencontre de sœur Olympie.

Celle-ci fit un salut masculin, et ne fléchit point le genou, comme les Augustines avaient coutume de faire en présence de leur supérieure. Elle ne parut faire aucune attention à l’élégance de la salle, ni à la ri-