Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome III, 1831.djvu/50

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G… se retira et Denise resta dans un coin, oubliée : Maurice ne pensait plus à elle. Elle avait trouvé sur la commode une montre qu’elle avait collée à son oreille, et dont elle écoutait le mouvement avec une avide satisfaction.

Lorsque Maurice se rapprocha du portrait, et l’examina attentivement, il sentit toute sa passion se rallumer. Il tomba dans son fauteuil et ne put retenir des sanglots amers. Il avait caché son visage dans ses mains. Une main douce les écarta, c’était celle de l’idiote.

« Ne pleure pas, Denise, dit-elle (car elle avait l’habitude de donner