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Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome V, 1831.djvu/184

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à l’église, s’avança lentement vers le voyageur, poussa un cri de joie en le reconnaissant, pour témoigner de celle qu’aurait Horace à le revoir, et le félicita d’une voix tremblante de l’à propos de sa bonne arrivée.

— Ah ! ah ! demanda Laorens, qui ne comprenait pas grand’chose au babillage du bon vieillard, est-ce qu’on s’amuse ici ?

— Non, monsieur, répondit Mathias ; on est à l’église, on se marie.

— On se marie ! s’écria le peintre étonné ; car son ami n’avait pas eu le temps de le prévenir des événemens si rapides qui venaient de se passer… Qui se marie ? Horace ?…

— Le digne jeune homme ! dit le