Page:Saussure - Recueil des publications scientifiques 1922.djvu/568

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oô."^ i\!ïr.Rfi'ri(i.s?; l'ffnvuiF.S'NK^.

connaissables : sur celle du moulage, qui porte AK^, le texte final devenant ainsi locrviaKevaveFeaeii.'

Si ee n"est \)as l'effet d'une illusion, Te de -creTi aurait quatre barres. Il en est peut-être de même de l'e de -creri- de la ligne 4. Mais ce détail, comme beaucoup d'autres, n'aura ohanec d'être fixé que par une inspection nouvelle de la pierre.

Liane 3. — Copie A: [..JviepPoaaaieuioi (le v aurait la forme arrondie ^ ). Copie- B: [uF]YTepKO-(Jacrieuioi (le F serait retourné contre le sens de la ligne: FN). Estampage et photographie du moulage: [...]TepKO0'a(JieKio[. Photographie directe: [..]YT6pKo[...]TeKioi.

Laissant provisoirement de côté le commencemeiit de la ligne, qui. n'est peut-être plus lisible, le reste est clairement -TepKOcracTieKioi, sans autre hésitation que celle qui concerne -acTie- ou aŒTe-.

En particulier le k de kioi est d'uni; telle netteté du haut en bas qu'on se demande ce qui a jamais pu occasionner la lecture -uioi.

Celui de -lepKO-, sans être aussi franc, reparaît soit dans la photographie de l'empreinte, soit dans l'empreinte elle-même, qui, généralement un peu diffuse, offre précisément ici, très clairement, tout le fragment repKO.

• Nous restons un peu incertain, depuis la photographie de Cons- tantinople, sur le I de acTie que tout le monde a lu i, et qui paraît dans cette dernière surmonté d'un trait transversal dont le caractère n'est pas encore bien clair à nos yeux. Y a-t-il là un T ou un I? Nous n'oserions le dire.

La partie initiale placée avant -xepKO- est rendue comme in- déchiffrable par l'effritement de la pierre, mais probablement aussi ])ar la présence ici d'un signe rare qui tombe au plus mauvais endroit de l'inscription.

Les deux tiges verticales, dont l'une des copies tient compte par |..J et l'autre par un dubitatif FM, paraissent appartenir à une seule et même lettre en forme de rectangle, comme serait [_J ou f~)(?).

Dans le doute, une circonstance indirecte vient confirmer, semble- t-il, cette supposition: Il n'existe, dans l'intervalle entre le rectangle

1. Le ^ (Jf UKe est iJ^i"^ distinct qu'iiuciiii des titiin e, cepundiuit distiiicta, qui suivent et que les franscripteius on}, lus. (Au reste, même la photographie de Constiuitinople conserve de ce signe les trois traits ol>li({ues.) Le A du même uKe peut pas.ser pour aussi lisible que celui de -vavc. Quant au K. toute la partie K est nette et jjrtavée en traits profonds. I/i boucle inférieure laisse à dcsifiT; mais fùt-elle détruite, on no pourrait en aucun cas lire ypsilon, vu la rbrnie presque toujours absolument ii'clilij.'nf' (jui caractérise les branchos de i'K.

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