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Page:Saynètes et Monologues, sér. 3, 1884.djvu/229

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VIS L’ALLIANCE

prendre de manchon. Non, (Faisant de U mab droite le moaTement do ■enir sod ^raplaie.) mon parapluiO, à tenir, (Pais, de la main gaaehe, le teste de relever «a robe.) et ma TObO à relOVer. (Bageant.) Ââh I (Se •émettant ) Hum ! Yoyons donc^Yoyonsdonctilnesera p ?’^ dit.. ! y[e Ta prendre an fond un manchon dont elle ae pasM aatoor do cou le roban de sospenaion.) Là I... maintenant* •• (BUe prend son parapluie et redescend.) maintenant... (Oayrant le paraplaie, elle lo tient do la main droite et met la main ganche dans son manchon.) Oui, malS paS pOSSiblO, JO SefâîS dans un état 1 (Otant aa main gaoche de son manchon et relevant sa robe.^ Gomme cela... (r^ière.) comme cela, j’aurai les mains gelées... et rouges 1 — Ah ! une idée... (Tenant 4 la ibis son paraplaie et sa jnpe de la main gauche, la droite dans son manchon.) En changeant de main, de temps en temps... (sue essaye, dépitée.) Eh bien 1 oui, mais c’est d’un incommode 1 (Fermant son parapioio sar leqael eUe s’appuie) Et puiS, nOU, mO VOyeZ-VOUS dohorS, faire tout ce mic-mac-là... C’est grotesque 1... sans compter qu’ici, ça va encore mais dans la rue, avec lô temps qu’il fait... ! (Désolée.) Ah 1 (Elle pose son parapluie et s’asded, Impatientée, à la table de droite, frappant nervensement la table de la main ganche et le parquet du pied.) Ah ! je suis sûre qu’il y a des flaques de neige fondue... je vais avoir des bottines dans un état ! {VœU Tagne d’ane personne qui cherche un moyen d’en sortir.) Une VOitUre ?... il U’y en aUra pas, les chevaux ne peuvent pas marcher, (se lerant sor piaco arec soupir.) AllonS 1 (Elle reprend son parapluie, le considérant.) Un parapluie I comme c’est poétique I II va me trouver du dernier ridicule l... Pourtant ?... — Mais il est capable de se moquer de moi... ; avec son petit air gouailleur... (du bndda eam et do très>mauTabe humeur.) Oh ! sl j’avals SU 1 — Nouf heuros moius Cinq ! (Avec un ton et un geste indiquant qu’oUo est résolue à ne se point hAter.) Ah bien, c’est bon ! (Un temps. — > Bogardant ahemathremeot ses deux mains et aon manchon, puis sa main droite ot le pompluie, puis sa mab gow^ et sa jnpe.) Comment sortir de là ?... Autrefois, on avait des tirettes pour relever les jupes, c’était très-commode-., (àtoo sonvicuon.) Ou fait les robes trop longues... et tous ees jupons... (indiquant lo dehors par un geste du oMé do la faoètre.) AlleZ dOUC, aVOC cela...I Pas moyen ! — C’est à croire qu’on le fait exprès, les maris, pour vous empêcher défaire un pasi (Trèi-réieUe.)Ahl I

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