prompts les rapports entre ces bâtimens et les administrations coloniales, et recevoir les déclarations que leurs commandans peuvent avoir à faire.
Enfin, l’intérêt des Français établis dans ces deux colonies, ou qui, résidant en France, y ont des propriétés, exige impérieusement la nomination d’un agent consulaire, dont l’absence pourrait être fatale aux uns et aux autres, dans le cas d’une insurrection intérieure, d’une rupture entre la France et la Grande-Bretagne, ou d’une attaque de la part de tout autre pouvoir.
Comme les rapports entre Démérara et Berbice sont fréquens et réguliers, et que le gouvernement a l’intention de réunir incessamment ces deux colonies sous une même administration, il n’y aurait lieu de nommer qu’un seul agent consulaire, avec un sous-agent ou correspondant dans celle des deux résidences qu’il n’habiterait pas.
Le pétitionnaire a l’honneur d’être,
- Monsieur le ministre,