Livre:Schœlcher - De l'esclavage des Noirs, 1833.djvu
Apparence
Titre | De l'esclavage des Noirs |
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Sous-titre | et de la législation coloniale. |
Auteur | Victor Schœlcher |
Maison d’édition | Paulin |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1833 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À valider |
Pages
couv. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160
TABLE DES MATIÈRES
(ne fait pas partie de l’ouvrage original)
CHAPITRE PREMIER. — Pourquoi un Européen devient, aux colonies, partisan de l’esclavage
7
CHAPITRE II. — L’intérêt du maître n’est point une garantie contre sa cruauté envers les esclaves.
11
CHAPITRE III. — L’esclave n’a aucune garantie contre la cruauté de son maître.
21
CHAPITRE IV. — De la mortalité des esclaves.
26
CHAPITRE V. — Dire que les esclaves des colonies sont plus heureux que nos paysans, c’est soutenir l’absurde.
38
CHAPITRE VI. — Les colons s’abusent en disant que les esclaves ne voudraient pas changer leur sort.
41
CHAPITRE VII. — L’esclavage rend l’homme vicieux et criminel, en le démoralisant.
47
CHAPITRE VIII. — L’Afrique n’est pas absolument dépourvue de civilisation.
53
CHAPITRE IX. — Ce sont les Européens qui ont entretenu la barbarie en Afrique.
61
CHAPITRE X. — L’homme noir n’est pas moins digne de la liberté que l’homme blanc.
65
CHAPITRE XI. — L’esclavage des nègres est une injure à la dignité humaine, parce que l’intelligence de l’homme noir est parfaitement égale à celle de l’homme blanc.
72
CHAPITRE XII. — De la Traite.
82
CHAPITRE XIII. — La culture libre est non-seulement possible, mais profitable.
90
CHAPITRE XIV. — Avec la liberté les colonies deviendront florissantes, et l’homme colonial deviendra meilleur
95
CHAPITRE XV. — Projet de législation.
101
CHAPITRE XVI. — Des peines corporelles. On ne peut les abolir immédiatement sans danger.
123
132
Pétitions adressées par M. Félix Milliroux à la chambre des députés
142