Page:Schœlcher - De l'esclavage des Noirs, 1833.djvu/95

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sont pas les suites de cet acclimatement que l’on craint ; car dans un pays aujourd’hui parfaitement cultivé, et surtout dans les lieux élevés, il n’y a plus de maladies à craindre. Ce que l’on redoute, c’est de montrer aux nègres des blancs travaillant de leurs mains. Mais admettant même que ces colonies doivent être exclusivement cultivées par des nègres, pourquoi ces nègres ne seraient-ils pas libres ? »