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ne consiste-t-le pas plutôt à ne rien admettre en dehors de l’éternel, et à voir le fini en soi, aussi peu dans l’idéal que dans la réalité ?
Lucien.
C’est une conséquence nécessaire.
Bruno.
Ainsi, selon nous, un idéalisme qui n’est idéalisme que par rapport au fini, méritera-t-il de prendre partout le nom de philosophie ?
Lucien.
Je ne le crois pas.
Bruno.
Mais en général, une connaissance quelconque peut-elle être considérée comme absolument vraie, quand elle n’est point celle qui détermine les choses, telles qu’elles se trouvent posées dans cette indifférence suprême de l’idéal et du réel ?
Lucien.
Impossible.
Bruno.
Ainsi, cher ami, ce que nous appelons réel dans les choses, n’est réel que par sa participation à